Aux chefs des tribus. Comme il s�agit d�une question de droit civil, Mo�se s�adresse aux repr�sentants du pouvoir civil et il pose la r�gle d�apr�s laquelle ils auront � juger les cas qui leur seront soumis. L�accomplissement des v�ux consistant surtout en offrandes et en sacrifices, cette ordonnance se rattache naturellement aux deux chapitres pr�c�dents. Elle sert � compl�ter celle de L�vitique 27 et celle de Nombres 6 sur le nazir�at, qui est un v�u.
Verset 3
Si un homme� C�est le principe g�n�ral?: tout v�u doit �tre tenu pour sacr�. Ce principe ne peut �tre restreint que dans son application � la femme (versets 4 � 17) qui n�a pas l�ind�pendance de l�homme.
Un v�u � l��ternel� La loi distingue deux sortes d�engagements?: celui par lequel l�homme voue quelque chose � l��ternel et celui par lequel il s�impose un renoncement (verset 14).
Tout ce qui est sorti de sa bouche. C�est le terme technique?: tout engagement pris par lui, quel qu�en soit la teneur. Le v�u pour �tre valable doit avoir �t� prononc� � haute voix.
Verset 4
Premier cas?: la jeune fille dans la maison paternelle (4-6)
Verset 5
Garde le silence. Ce silence est comme la sanction paternelle accord�e au v�u.
Verset 6
Le jour o� il l�apprend. Lors m�me que l�engagement d�abstinence serait d�j� en cours d�ex�cution.
Verset 7
Second cas?: la jeune fille qui se marie �tant d�j� li�e par un v�u (7-9)
Verset 8
Et que son, mari l�apprenne. Le mari prend la place du p�re.
Verset 10
Troisi�me cas?: la femme veuve ou r�pudi�e.
Veuve ou r�pudi�e. Si la femme �tait ind�pendante, ses v�ux sont en tout cas valables?; elle ne rentre pas sous l�autorit� paternelle.
Verset 11
Quatri�me cas?: l�engagement pris par une femme mari�e (11-16)
Les v�ux ou engagements ne sont valables qu�autant que le mari ne les annule pas.
Verset 16
Il se charge de la faute. Si le veto n�est pas intervenu au moment m�me o� le mari a appris la chose, ce veto tardif emp�che bien la femme d�ex�cuter son engagement, mais il y a faute commise envers Dieu � qui la promesse avait �t� faite et la punition atteindra le mari, � moins qu�il n�offre un sacrifice pour le d�lit?; comparez L�vitique�5.5.
Verset 17
Un seul cas n�est pas mentionn� celui d�une fille demeurant dans la maison paternelle au-del� de l�adolescence, sans s��tre mari�e?; on se demande si elle arrivait � l�ind�pendance. La loi se tait sur ce point. Ce r�sum� ne tient aucun compte du verset 3 qui n��tait l� que pour rappeler la r�gle g�n�rale.
Informations bibliographiques bibliography-text="Commentaire sur Numbers 30". "La Bible Annot�e de Neuch�tel". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/neu/numbers-30.html.
versets 1-16
Verset 2
Loi sur la validit� des v�ux (2-17)
Aux chefs des tribus. Comme il s�agit d�une question de droit civil, Mo�se s�adresse aux repr�sentants du pouvoir civil et il pose la r�gle d�apr�s laquelle ils auront � juger les cas qui leur seront soumis. L�accomplissement des v�ux consistant surtout en offrandes et en sacrifices, cette ordonnance se rattache naturellement aux deux chapitres pr�c�dents. Elle sert � compl�ter celle de L�vitique 27 et celle de Nombres 6 sur le nazir�at, qui est un v�u.
Verset 3
Si un homme� C�est le principe g�n�ral?: tout v�u doit �tre tenu pour sacr�. Ce principe ne peut �tre restreint que dans son application � la femme (versets 4 � 17) qui n�a pas l�ind�pendance de l�homme.
Un v�u � l��ternel� La loi distingue deux sortes d�engagements?: celui par lequel l�homme voue quelque chose � l��ternel et celui par lequel il s�impose un renoncement (verset 14).
Tout ce qui est sorti de sa bouche. C�est le terme technique?: tout engagement pris par lui, quel qu�en soit la teneur. Le v�u pour �tre valable doit avoir �t� prononc� � haute voix.
Verset 4
Premier cas?: la jeune fille dans la maison paternelle (4-6)
Verset 5
Garde le silence. Ce silence est comme la sanction paternelle accord�e au v�u.
Verset 6
Le jour o� il l�apprend. Lors m�me que l�engagement d�abstinence serait d�j� en cours d�ex�cution.
Verset 7
Second cas?: la jeune fille qui se marie �tant d�j� li�e par un v�u (7-9)
Verset 8
Et que son, mari l�apprenne. Le mari prend la place du p�re.
Verset 10
Troisi�me cas?: la femme veuve ou r�pudi�e.
Veuve ou r�pudi�e. Si la femme �tait ind�pendante, ses v�ux sont en tout cas valables?; elle ne rentre pas sous l�autorit� paternelle.
Verset 11
Quatri�me cas?: l�engagement pris par une femme mari�e (11-16)
Les v�ux ou engagements ne sont valables qu�autant que le mari ne les annule pas.
Verset 16
Il se charge de la faute. Si le veto n�est pas intervenu au moment m�me o� le mari a appris la chose, ce veto tardif emp�che bien la femme d�ex�cuter son engagement, mais il y a faute commise envers Dieu � qui la promesse avait �t� faite et la punition atteindra le mari, � moins qu�il n�offre un sacrifice pour le d�lit?; comparez L�vitique�5.5.
Verset 17
Un seul cas n�est pas mentionn� celui d�une fille demeurant dans la maison paternelle au-del� de l�adolescence, sans s��tre mari�e?; on se demande si elle arrivait � l�ind�pendance. La loi se tait sur ce point. Ce r�sum� ne tient aucun compte du verset 3 qui n��tait l� que pour rappeler la r�gle g�n�rale.