Celui qui n�entre pas par la porte dans la bergerie
La bergerie est une figure de l��glise, avec la porte qui est Christ. Les bergeries orientales sont de larges enclos, non couverts, mais entour�s de roseaux, ou de pierres, ou de briques, pour offrir une protection contre les voleurs, les loups, et autres animaux. Il s�y trouve une grande porte, par laquelle le berger entre avec les brebis.
Jean 10:2
Celui qui entre par la porte
Celui qui vient par cette porte est le berger. La figure est tr�s explicite pour les familiers de ces bergeries orientales. La porte est pour le berger et les brebis, tandis que ceux qui p�n�trent autrement sont des voleurs qui cherchent � se saisir des brebis.
Jean 10:3
Le portier lui ouvre
Le gardien de la porte, dont le travail est de garder l�entr�e. Ce serviteur poss�dait des armes, pour chasser tout intrus, mais il laissait bien s�r entrer le berger. Il n�est pas certain que Christ ait voulu repr�senter par le portier une figure spirituelle, mais s�il en �tait ainsi, il pourrait repr�senter Dieu, qui est Celui qui d�cide qui pourra entrer par la porte.
Les brebis entendent sa voix
Ceci est rigoureusement vrai. Les brebis sont tellement apprivois�es qu�elles suivent leur gardien avec la plus grande docilit�. Il les conduit ainsi o� il le d�sire. En Orient, le berger est devant les brebis, dans nos pays le berger reste derri�re elles.
Il appelle par leur nom les brebis
Ceci correspond exactement avec la r�alit� de la vie des bergers orientaux. Ils donnent un nom � leurs brebis, comme nous le faisons pour un cheval, une vache, un chien. Un voyageur raconte qu�en passant pr�s d�un troupeau de brebis, il a demand� au berger d�appeler l�une de celles-ci. Ce qu�il a fait, et cette derni�re est venue imm�diatement, laissant le p�turage et ses compagnes, courant vers le berger, en manifestant son plaisir.
Jean 10:4
Les brebis le suivent, parce qu�elles connaissent sa voix
Cela correspond au t�moignage des voyageurs qui vont dans ces pays, et qui remarquent qu�elles
ne suivront pas un �tranger
parce qu�elles n�en connaissent pas la voix. L�exp�rience montre qu�elles ne suivent pas l��tranger, m�me s�il s�habille avec les v�tements du berger.
Jean 10:6
J�sus leur dit cette parabole
Le mot Grec [paroimia] est traduit ici par " parabole," mais c�est plut�t une image, un r�cit symbolique.
Jean 10:7
Je suis la porte des brebis
Les versets 1 � 5 parlent des bergers en g�n�ral. Ces bergers entrent dans la bergerie et en sortent par la m�me porte que les brebis. Christ est cette porte�; ��la porte des brebis, �� l�unique porte pour tous, brebis et bergers. Il n�y a pas d�autre moyen pour entrer, ��car il n�y a sous le ciel aucun autre nom qui ait �t� donn� parmi les hommes, par lequel nous devions �tre sauv�s.�� Actes�4:12. Ce nom c�est le nom de J�sus.
Jean 10:8
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands
Pour certains commentateurs, l�id�e � retenir est�: " tous ceux qui sont venus sans entrer par la porte, mais pr�tendant �tre avant moi, ayant la priorit� ind�pendamment de moi, sont des voleurs et des brigands. Ceci semble s�harmoniser avec le contexte, et c�est probablement la pens�e de notre Sauveur. Il incluait les rabbins Juifs, les philosophes Grecs, les pr�tendus proph�tes, et sans doute un ��Conducteur Infaillible.�� Tous ceux-l� qui refusent de s�incliner devant son autorit�.
Mais les brebis ne les ont point �cout�s
Les vraies brebis.
Jean 10:9
Si quelqu�un entre par moi, il sera sauv�
Christ est � la fois la porte, le berger et le p�turage. Ce p�turage est le pain de vie et l�eau de la vie. Jean�6:35, 48�; 4.14.
Jean 10:10
Le voleur ne vient que pour d�rober
Tous ceux qui entrent autrement que par la porte ont l�intention de s�accaparer le troupeau.
Jean 10:11
Je suis le bon berger
C�est le titre appliqu� � l��ternel en Psaumes�23:1-6�; �z�kiel 34.12 et Christ ici se l�applique � lui-m�me. La caract�ristique du bon berger est ��qu�Il donne sa vie pour ses brebis.�� Dans ces r�gions un peu sauvages, le berger avait souvent � d�fendre son troupeau.
Jean 10:12
Mais le mercenaire... abandonne les brebis, et prend la fuite
Ce n�est pas le fait de recevoir un salaire qui fait d�un homme un mercenaire, ��car l�ouvrier m�rite son salaire.�� Luc�10:7. Le mercenaire est celui qui se loue pour de l�argent, mais qui n�est tr�s souvent guid� que par l�app�t du gain.
Jean 10:16
J�ai encore d�autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie
Non les Juifs, dont �taient ses disciples, mais les Gentils qui allaient bient�t �tre appel�s � leur tour. Ils allaient entendre sa voix, entrer par la porte, dans la m�me bergerie que les chr�tiens Juifs, afin qu�il y ait ��un seul troupeau, un seul berger.�� Il n�y a qu�une �glise, une seule Porte pour y entrer, et un seul Berger pour veiller sur elle.
Jean 10:18
Je la donne de moi-m�me
Sa vie. Il l�a donn�e de lui-m�me pour l�homme, volontairement. Il l�a laiss�e sur la croix�; il l�a reprise quand il est ressuscit� de la mort. On peut comprendre la le�on de ces 18 versets comme �tant une parabole � double application. d�abord, Christ compare les pharisiens � des bergers, et lui-m�me �tant la porte, et il d�clare que seuls les vrais bergers entrent par la porte�; c�est-�-dire � travers Christ et son autorit�. Tous les autres sont des voleurs. Puis il change l�application et se d�clare lui-m�me le bon berger qu�ont lou� David et �sa�e, et il indique la nature du service qu�il va rendre � ses brebis en donnant sa vie pour elles.
Jean 10:22
On c�l�brait... la f�te de la D�dicace
Deux mois apr�s les derniers incidents, qui se sont pass�s pendant et un peu apr�s la f�te des Tabernacles. La f�te de la D�dicace avait lieu en D�cembre, n��tait pas une f�te fix�e par Dieu, mais elle avait �t� institu�e par Juda Macchab�e en 164 AV. J-C, pour comm�morer la purification du temple apr�s qu�il ait �t� souill� par les Syriens. J�sus y trouve l�occasion d�enseigner le peuple qui est venu l�. Il n�y a pas de preuve qu�il ait observ� lui-m�me cette f�te.
Jean 10:23
Se promenait... sous le portique de Salomon
De longues arcades couvertes, qui faisaient partie du temple.
Jean 10:24
Les Juifs... lui dirent
La classe dirigeante. Ils l�entouraient non pour leur information, mais pour obtenir une base d�accusation.
Jean 10:25
Je vous l�ai dit, et vous ne croyez pas
Voir Jean�5:19�; 8.36, 56, 58�; 9.36.
Jean 10:26
Vous ne croyez pas, parce que vous n��tes pas de mes brebis
Non par manque de preuve, mais par un manque � l�int�rieur d�eux-m�mes. Si, comme ses brebis, ils avaient voulu l�entendre, lui ob�ir, le suivre, ils l�auraient reconnu.
Jean 10:28
Je leur donne la vie �ternelle
� ses brebis. La vie �ternelle ne veut pas dire une existence �ternelle, mais une b�atitude �ternelle.
Jean 10:29
Personne ne peut les ravir de la main de mon P�re
Les brebis qui entendent la voix de Christ et le suivent, Jean�10:27. Ceci est la condition de leur s�curit�. Ceux qui se soumettront � la Gr�ce de Dieu seront sauv�s de l�adversaire.
Jean 10:30
Moi et le P�re nous sommes un
Ils sont si unis que le P�re s�est engag� � prot�ger les brebis du Fils. Ces paroles ont �t� consid�r�es par les Juifs comme blasph�matoires, et ils ont donc voulu le lapider. Comparer Jean�8:52.
Jean 10:33
Pour un blasph�me
Parce qu�il a dit que lui et le P�re �taient un, Jean�10:30.
Jean 10:34
N�est-il pas �crit dans votre loi
Dans�: Psaumes�82:6.
J�ai dit�: vous �tes des dieux�?
Ceci s�adressait aux juges. L�argument de Christ est�: Si vous dites que les juges sont des dieux, pourquoi serais-je coupable de blasph�me en disant que je suis leFils de Dieu�?
Jean 10:36
Celui que le P�re a sanctifi�
Mis � part.
Jean 10:39
L�-dessus, ils cherch�rent encore � le saisir
Peu de temps avant ils voulaient le faire lapider par la foule, Jean�10:31, puis ils se sont quelque peu ressaisis, et ils veulent l�arr�ter.
Jean 10:40
S�en alla au del� du Jourdain
Il est rest� presque trois mois � J�rusalem, vivant un minist�re tr�s orageux. Deux fois on a voulu le livrer � la foule, Jean�8:59�; 10.31, deux fois on a voulu l�arr�ter, Jean�7:32, 45�; 10.39. Son temps n��tait cependant pas encore venu, il restait trois mois jusqu�� la prochaine P�que, et il se retire de cette temp�te pour quelques temps. Dans les autres �vangiles sont relat�s un certain nombre d�incidents qui se sont d�roul�s pendant ce minist�re au del� du Jourdain.
versets 1-42
Jean 10:1
SOMMAIRE DE JEAN 10
Le Bon Berger
Celui qui n�entre pas par la porte dans la bergerie
La bergerie est une figure de l��glise, avec la porte qui est Christ. Les bergeries orientales sont de larges enclos, non couverts, mais entour�s de roseaux, ou de pierres, ou de briques, pour offrir une protection contre les voleurs, les loups, et autres animaux. Il s�y trouve une grande porte, par laquelle le berger entre avec les brebis.
Jean 10:2
Celui qui entre par la porte
Celui qui vient par cette porte est le berger. La figure est tr�s explicite pour les familiers de ces bergeries orientales. La porte est pour le berger et les brebis, tandis que ceux qui p�n�trent autrement sont des voleurs qui cherchent � se saisir des brebis.
Jean 10:3
Le portier lui ouvre
Le gardien de la porte, dont le travail est de garder l�entr�e. Ce serviteur poss�dait des armes, pour chasser tout intrus, mais il laissait bien s�r entrer le berger. Il n�est pas certain que Christ ait voulu repr�senter par le portier une figure spirituelle, mais s�il en �tait ainsi, il pourrait repr�senter Dieu, qui est Celui qui d�cide qui pourra entrer par la porte.
Les brebis entendent sa voix
Ceci est rigoureusement vrai. Les brebis sont tellement apprivois�es qu�elles suivent leur gardien avec la plus grande docilit�. Il les conduit ainsi o� il le d�sire. En Orient, le berger est devant les brebis, dans nos pays le berger reste derri�re elles.
Il appelle par leur nom les brebis
Ceci correspond exactement avec la r�alit� de la vie des bergers orientaux. Ils donnent un nom � leurs brebis, comme nous le faisons pour un cheval, une vache, un chien. Un voyageur raconte qu�en passant pr�s d�un troupeau de brebis, il a demand� au berger d�appeler l�une de celles-ci. Ce qu�il a fait, et cette derni�re est venue imm�diatement, laissant le p�turage et ses compagnes, courant vers le berger, en manifestant son plaisir.
Jean 10:4
Les brebis le suivent, parce qu�elles connaissent sa voix
Cela correspond au t�moignage des voyageurs qui vont dans ces pays, et qui remarquent qu�elles
ne suivront pas un �tranger
parce qu�elles n�en connaissent pas la voix. L�exp�rience montre qu�elles ne suivent pas l��tranger, m�me s�il s�habille avec les v�tements du berger.
Jean 10:6
J�sus leur dit cette parabole
Le mot Grec [paroimia] est traduit ici par " parabole," mais c�est plut�t une image, un r�cit symbolique.
Jean 10:7
Je suis la porte des brebis
Les versets 1 � 5 parlent des bergers en g�n�ral. Ces bergers entrent dans la bergerie et en sortent par la m�me porte que les brebis. Christ est cette porte�; ��la porte des brebis, �� l�unique porte pour tous, brebis et bergers. Il n�y a pas d�autre moyen pour entrer, ��car il n�y a sous le ciel aucun autre nom qui ait �t� donn� parmi les hommes, par lequel nous devions �tre sauv�s.�� Actes�4:12. Ce nom c�est le nom de J�sus.
Jean 10:8
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands
Pour certains commentateurs, l�id�e � retenir est�: " tous ceux qui sont venus sans entrer par la porte, mais pr�tendant �tre avant moi, ayant la priorit� ind�pendamment de moi, sont des voleurs et des brigands. Ceci semble s�harmoniser avec le contexte, et c�est probablement la pens�e de notre Sauveur. Il incluait les rabbins Juifs, les philosophes Grecs, les pr�tendus proph�tes, et sans doute un ��Conducteur Infaillible.�� Tous ceux-l� qui refusent de s�incliner devant son autorit�.
Mais les brebis ne les ont point �cout�s
Les vraies brebis.
Jean 10:9
Si quelqu�un entre par moi, il sera sauv�
Christ est � la fois la porte, le berger et le p�turage. Ce p�turage est le pain de vie et l�eau de la vie. Jean�6:35, 48�; 4.14.
Jean 10:10
Le voleur ne vient que pour d�rober
Tous ceux qui entrent autrement que par la porte ont l�intention de s�accaparer le troupeau.
Jean 10:11
Je suis le bon berger
C�est le titre appliqu� � l��ternel en Psaumes�23:1-6�; �z�kiel 34.12 et Christ ici se l�applique � lui-m�me. La caract�ristique du bon berger est ��qu�Il donne sa vie pour ses brebis.�� Dans ces r�gions un peu sauvages, le berger avait souvent � d�fendre son troupeau.
Jean 10:12
Mais le mercenaire... abandonne les brebis, et prend la fuite
Ce n�est pas le fait de recevoir un salaire qui fait d�un homme un mercenaire, ��car l�ouvrier m�rite son salaire.�� Luc�10:7. Le mercenaire est celui qui se loue pour de l�argent, mais qui n�est tr�s souvent guid� que par l�app�t du gain.
Jean 10:16
J�ai encore d�autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie
Non les Juifs, dont �taient ses disciples, mais les Gentils qui allaient bient�t �tre appel�s � leur tour. Ils allaient entendre sa voix, entrer par la porte, dans la m�me bergerie que les chr�tiens Juifs, afin qu�il y ait ��un seul troupeau, un seul berger.�� Il n�y a qu�une �glise, une seule Porte pour y entrer, et un seul Berger pour veiller sur elle.
Jean 10:18
Je la donne de moi-m�me
Sa vie. Il l�a donn�e de lui-m�me pour l�homme, volontairement. Il l�a laiss�e sur la croix�; il l�a reprise quand il est ressuscit� de la mort. On peut comprendre la le�on de ces 18 versets comme �tant une parabole � double application. d�abord, Christ compare les pharisiens � des bergers, et lui-m�me �tant la porte, et il d�clare que seuls les vrais bergers entrent par la porte�; c�est-�-dire � travers Christ et son autorit�. Tous les autres sont des voleurs. Puis il change l�application et se d�clare lui-m�me le bon berger qu�ont lou� David et �sa�e, et il indique la nature du service qu�il va rendre � ses brebis en donnant sa vie pour elles.
Jean 10:22
On c�l�brait... la f�te de la D�dicace
Deux mois apr�s les derniers incidents, qui se sont pass�s pendant et un peu apr�s la f�te des Tabernacles. La f�te de la D�dicace avait lieu en D�cembre, n��tait pas une f�te fix�e par Dieu, mais elle avait �t� institu�e par Juda Macchab�e en 164 AV. J-C, pour comm�morer la purification du temple apr�s qu�il ait �t� souill� par les Syriens. J�sus y trouve l�occasion d�enseigner le peuple qui est venu l�. Il n�y a pas de preuve qu�il ait observ� lui-m�me cette f�te.
Jean 10:23
Se promenait... sous le portique de Salomon
De longues arcades couvertes, qui faisaient partie du temple.
Jean 10:24
Les Juifs... lui dirent
La classe dirigeante. Ils l�entouraient non pour leur information, mais pour obtenir une base d�accusation.
Jean 10:25
Je vous l�ai dit, et vous ne croyez pas
Voir Jean�5:19�; 8.36, 56, 58�; 9.36.
Jean 10:26
Vous ne croyez pas, parce que vous n��tes pas de mes brebis
Non par manque de preuve, mais par un manque � l�int�rieur d�eux-m�mes. Si, comme ses brebis, ils avaient voulu l�entendre, lui ob�ir, le suivre, ils l�auraient reconnu.
Jean 10:28
Je leur donne la vie �ternelle
� ses brebis. La vie �ternelle ne veut pas dire une existence �ternelle, mais une b�atitude �ternelle.
Jean 10:29
Personne ne peut les ravir de la main de mon P�re
Les brebis qui entendent la voix de Christ et le suivent, Jean�10:27. Ceci est la condition de leur s�curit�. Ceux qui se soumettront � la Gr�ce de Dieu seront sauv�s de l�adversaire.
Jean 10:30
Moi et le P�re nous sommes un
Ils sont si unis que le P�re s�est engag� � prot�ger les brebis du Fils. Ces paroles ont �t� consid�r�es par les Juifs comme blasph�matoires, et ils ont donc voulu le lapider. Comparer Jean�8:52.
Jean 10:33
Pour un blasph�me
Parce qu�il a dit que lui et le P�re �taient un, Jean�10:30.
Jean 10:34
N�est-il pas �crit dans votre loi
Dans�: Psaumes�82:6.
J�ai dit�: vous �tes des dieux�?
Ceci s�adressait aux juges. L�argument de Christ est�: Si vous dites que les juges sont des dieux, pourquoi serais-je coupable de blasph�me en disant que je suis leFils de Dieu�?
Jean 10:36
Celui que le P�re a sanctifi�
Mis � part.
Jean 10:39
L�-dessus, ils cherch�rent encore � le saisir
Peu de temps avant ils voulaient le faire lapider par la foule, Jean�10:31, puis ils se sont quelque peu ressaisis, et ils veulent l�arr�ter.
Jean 10:40
S�en alla au del� du Jourdain
Il est rest� presque trois mois � J�rusalem, vivant un minist�re tr�s orageux. Deux fois on a voulu le livrer � la foule, Jean�8:59�; 10.31, deux fois on a voulu l�arr�ter, Jean�7:32, 45�; 10.39. Son temps n��tait cependant pas encore venu, il restait trois mois jusqu�� la prochaine P�que, et il se retire de cette temp�te pour quelques temps. Dans les autres �vangiles sont relat�s un certain nombre d�incidents qui se sont d�roul�s pendant ce minist�re au del� du Jourdain.