Les Juifs se plaignent que le sabbat n�est pas respect�.
Les Juifs cherchent � tuer J�sus.
Il les r�primande.
J�sus pr�dit sa propre mort et sa r�surrection.
Ainsi que la r�surrection de tous.
Le t�moignage de Jean.
Le t�moignage de Mo�se.
Il y eut une f�te des Juifs
Probablement la seconde P�que, attendue par le Seigneur apr�s le commencement de son minist�re. C�est l�avis de nombreux �rudits.
Jean 5:2
� J�rusalem... il y a une piscine
Il est donc suppos� que ce lieu existait encore au moment de l��crit, mais c�est incertain.
Cinq portiques
Des arcades, des abris pour les malades.
Jean 5:3
�taient couch�s en grand nombre des malades
Tout ce qui suit le mot ��paralytiques�� est manquant dans les meilleurs manuscrits, ainsi que tout le verset 4. La traduction n�est qu�une supposition.
Jean 5:5
L� se trouvait un homme malade
Avec beaucoup d�autres, et ils pensaient que l�eau avait un pouvoir gu�rissant. L�infirmit� de cet homme �tait probablement une paralysie.
Jean 5:6
Veux-tu �tre gu�ri�?
J�sus l�observe et lui pose cette question pour attirer son attention.
Jean 5:7
Je n�ai personne pour me jeter dans la piscine, etc
Cette r�ponse a permis d�imaginer les mots manquants (versets 3 et 4). L�eau �tait agit�e par moments, probablement par un courant intermittent, et tous pensaient que le premier � entrer apr�s cette agitation de l�eau en recevrait un bienfait. Un seulement pouvait �tre gu�ri � chaque fois. Il n�y a aucun doute que beaucoup furent gu�ris, m�me sans miracle�: dans le cas de certaines maladies toute croyance peut avoir une puissance de gu�rison.
Jean 5:8
L�ve-toi, prends ton lit, et marche
Il re�oit l�ordre de se lever et de marcher. L�autorit� avec laquelle J�sus parle conduit � l�ob�issance.
Jean 5:9
Cet homme fut gu�ri
Observons la d�marche�:
Christ s�adresse � l�homme�;
il commande�;
l�homme ob�it. C�est l�ob�issance de la foi.
par cet acte d�ob�issance il est gu�ri.
C�est Christ qui gu�rit, mais la gu�rison intervient par l�ob�issance de la foi.
Jean 5:10
Les Juifs dirent donc � celui qui avait �t� gu�ri
Le mot ��donc�� d�signe le fait qu�il transportait son lit un jour de sabbat. ��Les Juifs�� ne sont pas le peuple, mais les autorit�s. Jean utilise toujours ces mots pour signifier non la foule, mais les dirigeants. L�homme fut officiellement arr�t� et questionn�. Il �tait interdit de transporter des fardeaux un jour de sabbat, et non seulement par la traditionJuive, mais �galement par la loi. Voir Exode�31:13�; J�r�mie�17:21�; N�h�mie�13:15-19.
Jean 5:11
Celui qui m�a gu�ri m�a dit
La d�fense de l�homme est qu�il a fait ce qu�on lui a ordonn�. Il ne sait pas qui l�a gu�ri.
Jean 5:14
Ne p�che plus, de pire qu�il ne t�arrive quelque chose de pire
Ses propres p�ch�s, trente-huit ans auparavant, lui avaient apport� cette infirmit�. Nous n�en connaissons pas la nature, mais nous savons par l� que souvent le p�ch� am�ne la souffrance charnelle.
Jean 5:15
Cet homme s�en alla et annon�a aux Juifs, etc
La deuxi�me fois qu�il le voit, il apprend que c�est J�sus qui l�a gu�ri.
Jean 5:16
Les Juifs poursuivaient J�sus
Ils en sont m�me arriv�s un jour � l�attaquer. Ici les autorit�s sont venues � J�sus pour lui demander pourquoi il avait fait cette gu�rison.
Jean 5:17
Mon P�re agit jusqu�� pr�sent�; moi aussi j�agis
La r�ponse de J�sus � ses accusateurs nous am�ne au c�ur du probl�me. La base sur laquelle reposait le sabbat �tait que Dieu avait cess� Son ouvrage le septi�me jour. J�sus montre que le repos de Dieu n�est pas � confondre avec l�oisivet�. Le P�re a continu� son �uvre d�amour et de mis�ricorde. Il a accompli ces �uvres jusqu�� ce que J�sus vienne. ��� pr�sent, �� dit le Fils, j�agis comme le P�re a agi. Le sabbat ne peut �tre un pr�texte pour ignorer la bienveillance et la mis�ricorde. L�exemple du P�re est le mod�le donn� pour la conduite de l�homme.
Jean 5:18
Non seulement parce qu�il violait le sabbat
Les pharisiens ont �t� horrifi�s, non seulement parce qu�il ne respectait pas le sabbat, mais surtout par le niveau sur lequel le Seigneur pla�ait sa d�fense.
Il appelait Dieu son propre P�re
Sa d�claration leur semblait un �norme blasph�me.
Jean 5:19
J�sus reprit donc la parole
� leur accusation de blasph�me, il montre qu�il y a la plus �troite collaboration entre le P�re et le Fils. Ce que le P�re fait, le Fils le fait, allant jusqu�� pouvoir donner la vie � celui qui est mort.
Jean 5:23
Afin que tous honorent le fils
Les mots ��car�� dans les versets 20, 21 am�nent � l�exaltation qui doit �tre donn�e au Fils, Jean�5:20-22.
Jean 5:24
� la vie �ternelle
Les conditions pour la vie �ternelle sont�:
La connaissance du Fils�;
croire en Lui�; avoir confiance en Lui.
Tout cela est n�cessaire pour pouvoir �tre accept�.
Jean 5:25
Les morts entendront la voix
Ceux qui sont morts spirituellement, comme ceux qui sont dans la tombe. Ils pourront entendre, et le Fils pourra leur procurer la vie �ternelle. Car le Fils a la vie en Lui, par la volont� du P�re, et Il peut la donner.
Jean 5:27
Parce qu�il est Fils de l�homme
Il est aussi le juge, un juge qui a partag� la nature de celui qui est jug�.
Jean 5:28
Ne vous �tonnez pas de cela
Qu�il puisse prononcer un jugement. Ceux qui seront dans la gr�ce entendront sa voix et viendront au jugement�; les bons, � la r�surrection de la vie�; les mauvais, � la r�surrection de la damnation�; les uns � la vie �ternelle, les autres � la condamnation.
Jean 5:30
Je ne puis rien faire de moi-m�me
En dehors du P�re.
Jean 5:32
qui rend t�moignage de moi
Il parle de Jean-Baptiste.
Jean 5:33
Vous avez envoy� vers Jean
Voir Jean�1:19-38.
Jean 5:36
J�ai un t�moignage plus grand
Ses �uvres, donn�es par le P�re, la voix du P�re lors du bapt�me, et les �critures, qui sont les paroles du P�re.
Jean 5:38
Sa parole ne demeure point en vous
Si elle y demeurait, ils auraient cru en celui dont cette parole parlait.
Jean 5:39
Vous sondez les �critures
Vous recherchez dans les �critures le moyen d�atteindre la vie �ternelle. Ces �critures sont remplies du t�moignage de Christ. Cependant ils se d�tournaient de celui qui est la vie, celui dont les �critures leurs parlaient.
Jean 5:41
Je ne tire pas ma gloire des hommes
C�est peut-�tre une r�plique � une expression de d�sapprobation de leur part.
Jean 5:42
Je sais
Il lit dans leurs c�urs.
Jean 5:43
si un autre vient en son propre nom
Un faux Christ.
Jean 5:44
Comment pouvez-vous croire�?
Ce verset montre que l�incr�dulit� est le r�sultat d�une condition morale.
Jean 5:45
Celui qui vous accuse, c�est Mo�se
Celui dont ils refusent le t�moignage. S�ils ont rejet� le t�moignage de Mo�se, qu�ils assuraient r�v�rer, comment pouvaient-ils croire en celui dont parlait Mo�se�?
versets 1-47
Jean 5:1
SOMMAIRE DE JEAN 5
J�sus � J�rusalem
Il y eut une f�te des Juifs
Probablement la seconde P�que, attendue par le Seigneur apr�s le commencement de son minist�re. C�est l�avis de nombreux �rudits.
Jean 5:2
� J�rusalem... il y a une piscine
Il est donc suppos� que ce lieu existait encore au moment de l��crit, mais c�est incertain.
Cinq portiques
Des arcades, des abris pour les malades.
Jean 5:3
�taient couch�s en grand nombre des malades
Tout ce qui suit le mot ��paralytiques�� est manquant dans les meilleurs manuscrits, ainsi que tout le verset 4. La traduction n�est qu�une supposition.
Jean 5:5
L� se trouvait un homme malade
Avec beaucoup d�autres, et ils pensaient que l�eau avait un pouvoir gu�rissant. L�infirmit� de cet homme �tait probablement une paralysie.
Jean 5:6
Veux-tu �tre gu�ri�?
J�sus l�observe et lui pose cette question pour attirer son attention.
Jean 5:7
Je n�ai personne pour me jeter dans la piscine, etc
Cette r�ponse a permis d�imaginer les mots manquants (versets 3 et 4). L�eau �tait agit�e par moments, probablement par un courant intermittent, et tous pensaient que le premier � entrer apr�s cette agitation de l�eau en recevrait un bienfait. Un seulement pouvait �tre gu�ri � chaque fois. Il n�y a aucun doute que beaucoup furent gu�ris, m�me sans miracle�: dans le cas de certaines maladies toute croyance peut avoir une puissance de gu�rison.
Jean 5:8
L�ve-toi, prends ton lit, et marche
Il re�oit l�ordre de se lever et de marcher. L�autorit� avec laquelle J�sus parle conduit � l�ob�issance.
Jean 5:9
Cet homme fut gu�ri
Observons la d�marche�:
C�est Christ qui gu�rit, mais la gu�rison intervient par l�ob�issance de la foi.
Jean 5:10
Les Juifs dirent donc � celui qui avait �t� gu�ri
Le mot ��donc�� d�signe le fait qu�il transportait son lit un jour de sabbat. ��Les Juifs�� ne sont pas le peuple, mais les autorit�s. Jean utilise toujours ces mots pour signifier non la foule, mais les dirigeants. L�homme fut officiellement arr�t� et questionn�. Il �tait interdit de transporter des fardeaux un jour de sabbat, et non seulement par la traditionJuive, mais �galement par la loi. Voir Exode�31:13�; J�r�mie�17:21�; N�h�mie�13:15-19.
Jean 5:11
Celui qui m�a gu�ri m�a dit
La d�fense de l�homme est qu�il a fait ce qu�on lui a ordonn�. Il ne sait pas qui l�a gu�ri.
Jean 5:14
Ne p�che plus, de pire qu�il ne t�arrive quelque chose de pire
Ses propres p�ch�s, trente-huit ans auparavant, lui avaient apport� cette infirmit�. Nous n�en connaissons pas la nature, mais nous savons par l� que souvent le p�ch� am�ne la souffrance charnelle.
Jean 5:15
Cet homme s�en alla et annon�a aux Juifs, etc
La deuxi�me fois qu�il le voit, il apprend que c�est J�sus qui l�a gu�ri.
Jean 5:16
Les Juifs poursuivaient J�sus
Ils en sont m�me arriv�s un jour � l�attaquer. Ici les autorit�s sont venues � J�sus pour lui demander pourquoi il avait fait cette gu�rison.
Jean 5:17
Mon P�re agit jusqu�� pr�sent�; moi aussi j�agis
La r�ponse de J�sus � ses accusateurs nous am�ne au c�ur du probl�me. La base sur laquelle reposait le sabbat �tait que Dieu avait cess� Son ouvrage le septi�me jour. J�sus montre que le repos de Dieu n�est pas � confondre avec l�oisivet�. Le P�re a continu� son �uvre d�amour et de mis�ricorde. Il a accompli ces �uvres jusqu�� ce que J�sus vienne. ��� pr�sent, �� dit le Fils, j�agis comme le P�re a agi. Le sabbat ne peut �tre un pr�texte pour ignorer la bienveillance et la mis�ricorde. L�exemple du P�re est le mod�le donn� pour la conduite de l�homme.
Jean 5:18
Non seulement parce qu�il violait le sabbat
Les pharisiens ont �t� horrifi�s, non seulement parce qu�il ne respectait pas le sabbat, mais surtout par le niveau sur lequel le Seigneur pla�ait sa d�fense.
Il appelait Dieu son propre P�re
Sa d�claration leur semblait un �norme blasph�me.
Jean 5:19
J�sus reprit donc la parole
� leur accusation de blasph�me, il montre qu�il y a la plus �troite collaboration entre le P�re et le Fils. Ce que le P�re fait, le Fils le fait, allant jusqu�� pouvoir donner la vie � celui qui est mort.
Jean 5:23
Afin que tous honorent le fils
Les mots ��car�� dans les versets 20, 21 am�nent � l�exaltation qui doit �tre donn�e au Fils, Jean�5:20-22.
Jean 5:24
� la vie �ternelle
Les conditions pour la vie �ternelle sont�:
Tout cela est n�cessaire pour pouvoir �tre accept�.
Jean 5:25
Les morts entendront la voix
Ceux qui sont morts spirituellement, comme ceux qui sont dans la tombe. Ils pourront entendre, et le Fils pourra leur procurer la vie �ternelle. Car le Fils a la vie en Lui, par la volont� du P�re, et Il peut la donner.
Jean 5:27
Parce qu�il est Fils de l�homme
Il est aussi le juge, un juge qui a partag� la nature de celui qui est jug�.
Jean 5:28
Ne vous �tonnez pas de cela
Qu�il puisse prononcer un jugement. Ceux qui seront dans la gr�ce entendront sa voix et viendront au jugement�; les bons, � la r�surrection de la vie�; les mauvais, � la r�surrection de la damnation�; les uns � la vie �ternelle, les autres � la condamnation.
Jean 5:30
Je ne puis rien faire de moi-m�me
En dehors du P�re.
Jean 5:32
qui rend t�moignage de moi
Il parle de Jean-Baptiste.
Jean 5:33
Vous avez envoy� vers Jean
Voir Jean�1:19-38.
Jean 5:36
J�ai un t�moignage plus grand
Ses �uvres, donn�es par le P�re, la voix du P�re lors du bapt�me, et les �critures, qui sont les paroles du P�re.
Jean 5:38
Sa parole ne demeure point en vous
Si elle y demeurait, ils auraient cru en celui dont cette parole parlait.
Jean 5:39
Vous sondez les �critures
Vous recherchez dans les �critures le moyen d�atteindre la vie �ternelle. Ces �critures sont remplies du t�moignage de Christ. Cependant ils se d�tournaient de celui qui est la vie, celui dont les �critures leurs parlaient.
Jean 5:41
Je ne tire pas ma gloire des hommes
C�est peut-�tre une r�plique � une expression de d�sapprobation de leur part.
Jean 5:42
Je sais
Il lit dans leurs c�urs.
Jean 5:43
si un autre vient en son propre nom
Un faux Christ.
Jean 5:44
Comment pouvez-vous croire�?
Ce verset montre que l�incr�dulit� est le r�sultat d�une condition morale.
Jean 5:45
Celui qui vous accuse, c�est Mo�se
Celui dont ils refusent le t�moignage. S�ils ont rejet� le t�moignage de Mo�se, qu�ils assuraient r�v�rer, comment pouvaient-ils croire en celui dont parlait Mo�se�?