Lectionary Calendar
Saturday, September 28th, 2024
the Week of Proper 20 / Ordinary 25
Attention!
StudyLight.org has pledged to help build churches in Uganda. Help us with that pledge and support pastors in the heart of Africa.
Click here to join the effort!

Bible Commentaries
1 Samuel 17

Bible annotéeBible annotée

Buscar…
Enter query below:

versets 1-58

Rassembl�rent leurs troupes. Comparez 1 Samuel 14:52 o� il �tait dit-que durant tout le temps du r�gne de Sa�l il y eut guerre avec les Philistins.

Socho (voir Josu� 10:35, note) : aujourd�hui Schuweikeh, � 14 km au sud-ouest de J�rusalem, ainsi du c�t� du pays des Philistins et non loin de Gath. Les Philistins n�occupaient plus du tout le pays; c��tait une nouvelle invasion.

Az�ka : voir Josu� 15:35, note.

Eph�s-Dammim, aujourd�hui Damoum, � 6 km au nord-est de Socho; c��tait le point de la ligne allant de Socho � Az�ka, o� �tait situ� le camp des Philistins.

Vall�e des T�r�binthes : probablement la vall�e appel�e aujourd�hui Wadi Ela (mot qui signifie t�r�binthe).

Un champion, litt�ralement l�homme des deux intervalles entre les deux arm�es; celui qui s�avance hors des rangs pour livrer un combat singulier qui doit d�cider de la victoire.

Goliath : l��clatant.

De Gath : descendant des Anakim (Josu� 11:21-22).

Six coud�es et un empan, ou six coud�es et demie, environ trois m�tres et six centim�tres, taille qui a �t� presque atteinte par quelques g�ants, m�me dans les temps modernes. En Inde, au pied de l�Himalaya, on a trouv� en 1838 un squelette de pr�s de trois m�tres, et en 1879 on montrait � Berlin un g�ant chinois de 279 centim�tres de hauteur (Daheim, 1879).

Cinq mille sicles d�airain : environ 75 kilogrammes.

Entre les �paules. Il �tait suspendu l� pour ne pas g�ner les mouvements des bras. Les anciens portaient parfois l��p�e elle-m�me de cette mani�re (Illiade, II, 45).

Ensouple : la grande pi�ce de bois qui forme le devant du m�tier du tisserand et autour de laquelle s�enroule la cha�ne de la trame.

Pourquoi �tes-vous sortis� ? Inutile de livrer bataille et de s�entretuer. Qu�un homme, qui vous repr�sente, combatte avec moi, qui suis le repr�sentant des Philistins (le Philistin).

Tout le passage versets 12 � 31 est destin� � expliquer la pr�sence de David au camp et � pr�parer ainsi le r�cit du combat d�s la fin du verset 31. Les Septante omettent tout ce morceau, ainsi que le versets 41 � 50 et 55 � 58. David est introduit ici comme un personnage d�j� connu (chapitre 16), mais les d�tails donn�s sur sa famille, qui sont une r�p�tition de ceux d�j� donn�s au chapitre 16, semblent indiquer que ce passage est tir� d�un autre document. L�adjectif d�monstratif cet rappelle qu�il a d�j� �t� parl� de lui.

Ce verset est destin� � montrer que David ne remplissait plus � l�ordinaire la charge d��cuyer de Sa�l (1 Samuel 16:14-19), mais qu�il �tait revenu � ses occupations ordinaires, sauf quand on l�appelait pour calmer les acc�s de Sa�l.

Ces quarante jours avaient peut-�tre �puis� les provisions, et le besoin de vivres se faisait sentir dans l�arm�e. Bethl�em n��tait pas �loign�e du th��tre de la guerre.

Un gage. Cette expression a �t� diversement comprise. On ne peut supposer qu�Isa� demande � David de rapporter un gage visible de sa visite � ses fr�res, ni non plus, comme on l�a pens�, qu�il ait �t� charg� de racheter ce qu�ils avaient pu mettre en gage pour s�entretenir. C�est plut�t une locution qui signifie : Tu me donneras de leurs nouvelles s�res, ou bien : Tu me rapporteras les d�sirs qu�ils peuvent avoir.

Encore la r�p�tition d�une notice d�j� donn�e (verset 2), ce qui confirme que nous avons ici un fragment d�un autre document, � moins pourtant qu�on ne veuille mettre ce verset dans la bouche d�Isa�.

Ce verset prouve que, contrairement � ce qu�ont dit. quelques critiques, il y avait d�j� des imp�ts, ou du moins des corv�es en Isra�l.

Que fera-t-on� ? Les paroles pr�c�dentes n�avaient pas �t� adress�es � David, et il ne les avait sans doute entendues que confus�ment.

Cet incirconcis� Dans ces paroles vibre d�j� le sentiment patriotique r�veill� en David et qui lui inspirera la r�solution qu�il va prendre.

Et il fut rempli de col�re. Eliab a p�n�tr� la pens�e secr�te de David et n�y voit qu�un fol orgueil.

Laiss� ce peu de brebis� Il ne m�ritait pas ce reproche; car il avait pourvu � leur s�ret�; voir verset 20.

Je connais ton orgueil, litt�ralement : Moi (qui te vois de pr�s), je connais ce que les autres ne savent pas.

C�est pour voir la bataille. Mais l�on ne sait o� le portera encore cette curiosit�.

L�intention de David n��tait plus de s�informer de la r�compense promise par Sa�l, mais de faire entendre � ceux qui l��coutaient qu�il pensait � la m�riter.

Le voyageur Th�venot dit : Les Arabes n�ont point peur des lions, et pourvu qu�un Arabe ait un b�ton en main, il ira apr�s un lion, et s�il l�attrape, il le tuera.

Le lion syrien est beaucoup moins grand et redoutable que le lion d�Afrique.

Ses habits : un v�tement destin� � supporter la cuirasse.

La guerre d�pend de l��ternel : toute guerre et, par cons�quent, celle-ci.

Comparez ce qui est dit de l�habilet� des frondeurs benjamites, Juges 20:16.

Le fit mourir, l�acheva.

Lui coupa�, litt�ralement, lui en coupa la t�te, c�est-�-dire de sa propre �p�e.

Jusqu�� l�entr�e de la vall�e. Il faut probablement lire : jusqu�� Gath. En h�breu, les deux mots vall�e et Gath sont semblables.

Saara�m : ville de Juda dans la plaine basse (Josu�e 15.36, note). Ce point est indiqu� ici parce que ce fut depuis l� que les fuyards se partag�rent en deux bandes, allant l�une sur Gath, l�autre sur �kron.

J�rusalem. Sans doute, � l�exception de la forteresse, J�rusalem �tait d�j� habit�e par des Isra�lites; mais il est probable que ce ne fut que plus tard, lorsqu�elle fut devenue la capitale du royaume, que la t�te de Goliath y fut d�pos�e par David comme monument de sa victoire.

Dans sa tente, pour : chez lui, comme souvent (1 Samuel 4:10; 1 Samuel 13:2); c��tait la demeure qu�il occupait chez son p�re a Bethl�em. On voit par 1 Samuel 21:9 que l��p�e de Goliath fut plus tard transport�e de son domicile particulier dans le sanctuaire. C��tait l�usage chez les anciens de d�poser les troph�es dans les temples, en l�honneur du Dieu qui avait accord� la victoire.

Le morceau 1 Samuel 17:55-18.5 est �videmment ins�r� � cet endroit au moyen d�un document diff�rent, pour suppl�er � une lacune du r�cit pr�c�dent. La diff�rence entre les deux documents ressort sp�cialement du fait que le nom de Jonathan n�est plus �crit de la m�me mani�re qu�il l�avait �t� pr�c�demment (J�honathan au lieu de Jonathan). De plus tout le morceau se termine par une r�flexion g�n�rale (1 Samuel 18:5) qui anticipe sur l�avenir, tandis que le verset suivant se rattache au verset 54 du chapitre pr�c�dent. Mais ce r�cit semble �tre contradictoire � tout ce qui avait �t� racont� des relations ant�rieures entre Sa�l et David; et l�on se demande comment l�auteur aurait plac� l�une � c�t� de l�autre deux traditions incompatibles sans se pr�occuper de les mettre d�accord ou sans s�apercevoir de cette contradiction ? Peut-�tre se repr�sentait-il la chose de la mani�re suivante : Sa�l avait �cout� la musique du jeune David et s��tait servi de lui pour porter ses armes, sans attacher grande importance � sa personne ni se pr�occuper beaucoup de sa filiation et de la qualit� de sa famille. Mais en le voyant sortir au-devant du Philistin avec un air d�intr�pidit� et d�assurance qui d�notait clairement le futur h�ros, frapp� d��tonnement il demande � son g�n�ral Abner, non pas : Qui est ce jeune homme ? Ni non plus : Quel est le nom de son p�re ? Selon la forme ordinaire en pareil cas, mais : De qui est-il fils ? Quelle est sa famille ? D�o� sort un tel jeune homme? � ce sentiment d�admiration pouvait se joindre chez le roi la pens�e de la promesse qu�il avait faite de donner sa propre fille en mariage au vainqueur du Philistin et de la position, de la famille dans laquelle elle serait appel�e � entrer. Comparez la question qu�adresse David lui-m�me aux-serviteurs de Sa�l (1 Samuel 18:18) : Quelle est ma position, la famille de mon p�re en Isra�l, que je sois le gendre du roi ? C�est � chaque lecteur � juger s�il veut admettre entre les documents une contradiction pure et simple que le r�dacteur a cru devoir laisser subsister telle quelle, ou s�il croit pouvoir accepter l�essai de solution que nous venons de pr�senter. Pour nous, nous ne connaissons pas un seul cas o� un historien ancien, dans une narration s�rieuse, ait plac�, � c�t� l�un de l�autre deux r�cits entre lesquels tout accord lui aurait paru impossible.

Les mots suivants (1 Samuel 18:1) : Lorsqu�il eut fini de parler, font comprendre que ce n�est ici que le r�sum� d�un entretien plus long entre Sa�l et David.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Samuel 17". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/1-samuel-17.html.
 
adsfree-icon
Ads FreeProfile