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Bible Commentaries
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Bible annotéeBible annotée

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versets 1-29

Comparer, entre autres passages, Galates 1:1, note.

Comparer 1 Corinthiens 1:1, note. C�est peut-�tre Timoth�e qui �crivit cette lettre sous la dict�e de l�ap�tre (Colossiens 4:18).

Comparer Romains 1:7, note.

Au lieu de Colosses, plusieurs manuscrits lisent Colasses, et pour titre de notre �p�tre : aux Colassiens. On trouve quelquefois ce nom ainsi �crit dans les auteurs profanes.

Le texte re�u ajoute, � la fin du verset, avec quelques anciens manuscrits : �?et du Seigneur J�sus-Christ?�.

Pour cette expression Dieu et P�re de notre Seigneur, voir �ph�siens 1:3, note.

Ces mots toujours pour vous, se rapportent � la fois aux actions de gr�ces et aux pri�res de Paul.

Sur cette vive reconnaissance au sujet de ses fr�res, voir Romains 1:8; 1 Corinthiens 1:4; Philippiens 1:3; 1 Thessaloniciens 1:2; 2 Thessaloniciens 1:3; et sur ses constantes pri�res : Colossiens 1:3; Romains 1:10; �ph�siens 1:16; Philippiens 1:4-9; 1 Thessaloniciens 1:2.

Grec : �?par la parole de la v�rit� de l��vangile?�, c�est-�-dire, v�rit� qui est l��vangile.

Le sujet des actions de gr�ces de Paul, ce sont les vertus fondamentales de toute vie chr�tienne : la foi et l�amour, qu�il est heureux de retrouver dans les membres de l��glise de Colosses.

J�sus-Christ, le Sauveur, est l�objet de la foi; il l�est sans doute aussi de l�amour; mais ici, comme dans �ph�siens 1:15, l�ap�tre d�signe les saints (comparez 1 Corinthiens 1:2) comme l�objet de cet amour, parce que l�affection toute nouvelle que la foi inspire aux croyants pour leurs fr�res est le t�moignage le plus s�r, le signe distinctif d�une vraie conversion (Jean 13:35). Il ajoute : (verset 5) � cause de l�esp�rance qui vous est r�serv�e dans les cieux; l�esp�rance est mise ici pour l�objet esp�r�, le salut, la vie �ternelle, (Romains 8:24) dont la pleine possession ne nous sera accord�e que dans les cieux.

Jouir de la pr�sence imm�diate de Dieu et du Sauveur, le voir tel qu�il est, lui �tre semblable, telle est l�attente de l�enfant de Dieu (1 Jean 3:1-4); il vit sur la terre dans la foi, dans la charit�, � cause de cette esp�rance qui est son but supr�me.

Cette esp�rance, l�homme n�en a connaissance que par la parole de la v�rit�, et sp�cialement, il n�en a la certitude que par l��vangile, par la bonne nouvelle du pardon, du salut (verset 5).

Si l�on prend cette expression � la lettre, il faut y voir une hyperbole.

Mais l�ap�tre veut surtout ici d�signer l��vangile comme un tr�sor appartenant � l�humanit� tout enti�re, et qui, par cons�quent, devait parvenir aussi aux Colossiens. Il est parvenu jusqu�� vous, aussi bien qu�au monde entier, selon sa destination. La raison pour laquelle saint Paul fait ressortir ici l�universalit� du salut et y revient encore � la fin de ce chapitre, (versets 23-27) d�clarant qu�il avertit tout homme et enseigne tout homme, c�est qu�il veut d�s l�abord faire opposition au particularisme des faux docteurs juda�sants, qui pr�tendaient borner au peuple juif les bienfaits de l��vangile. Il ne faut donc pas voir dans ces mots une hyperbole, car l�ap�tre, en les �crivant, savait fort bien que l��vangile n��tait point encore, de fait, universellement r�pandu; mais il savait aussi que cet �vangile avait d�s ses commencements la destination et la puissance de remplir et de dominer le monde (comparez Matthieu 24:14); et c�est dans cette assurance que Paul exprime proph�tiquement cette destination comme d�j� r�alis�e.� Olshausen

Les fruits que porte l��vangile (grec : �?il fructifie?�), ce sont les caract�res de la vie chr�tienne, la charit�, (verset 4) les bonnes �uvres (verset 10) De plus, l��vangile augmente, grandit (le texte re�u omet � tort ce mot), soit ext�rieurement par sa propagation dans le monde, soit dans les �mes qu�il sanctifie. Ce progr�s, signe de toute vie, Paul a le bonheur de le trouver dans les Colossiens depuis le jour o� ils ont connu la gr�ce de Dieu en v�rit� (verset 5, note).

L�ap�tre emploie un verbe qui d�signe une connaissance exacte et il accentue cette nuance en ajoutant en v�rit� : �?vous l�avez connue telle qu�elle est r�ellement?�. D�autres traduisent : �?vous l�avez vraiment, sinc�rement connue?�. Le premier sens s�accorde mieux avec la pr�occupation de l�ap�tre de combattre les faux docteurs (verset 16 suivants; Colossiens 2:8 suivants).

Grec : �?Votre charit� dans l�Esprit?�.

La charit� (verset 4) est ici attribu�e � l�Esprit, (Romains 5:5; Galates 5:22) parce que, bien diff�rente des affections naturelles, elle est un fruit de la vie nouvelle que l�Esprit de Dieu produit en ceux qu�il a r�g�n�r�s.

Epaphras est d�sign� par l�ap�tre comme le fondateur, ou du moins comme le principal �vang�liste de l��glise de Colosses. Il �tait de cette ville (Colossiens 4:12).

C�est par lui que Paul avait �t� instruit de l��tat actuel des �glises d�Asie (Voyez l�Introduction). Il �tait encore aupr�s de Paul quand celuici �crivait notre lettre. Le beau t�moignage que l�ap�tre lui donne ici et Colossiens 4:12; Colossiens 4:13, devait le rendre plus cher encore aux chr�tiens de Colosses.

C�est-�-dire parce qu�il a appris des choses si r�jouissantes sur leur �tat spirituel : (versets 4, 8, 9) il se sent d�autant plus encourag� � prier pour eux et � demander plus encore, jusqu�� leur enti�re perfection. Il va exprimer l�objet pr�cis de ses pri�res.

�tre rempli, dans la langue originale, signifie aussi �tre accompli, parfait et l�on peut traduire aussi : �?que vous soyez rendus parfaits quant � la connaissance?�. L�ap�tre demande � Dieu tout ce qui pourrait manquer � ses lecteurs pour la pleine connaissance de la volont� de Dieu, et il faut entendre sous cette derni�re expression, soit le conseil de Dieu pour leur r�demption par J�sus-Christ, (�ph�siens 1:8-10) soit, en g�n�ral, ses desseins � leur �gard, auxquels ils devaient se conformer par une ob�issance filiale de chaque jour. Au reste, ce mot �tre rempli montre assez qu�il s�agit moins d�une connaissance purement intellectuelle que d�un sentiment vivant de la volont� de Dieu, produit dans le chr�tien par le Saint-Esprit (voir la note suivante et comparer : Colossiens 4; 12; Romains 12:2; �ph�siens 5:17; 1 Thessaloniciens 4:3).

Telles sont les deux gr�ces n�cessaires que Paul demande pour ses lecteurs, afin qu�ils connaissent pleinement la volont� de Dieu. En les qualifiant de spirituelles, il montre qu�il les consid�re comme un fruit de l�Esprit de Dieu dans les �mes.

La sagesse, dans le sens du mot original, est surtout le discernement de la v�rit� envisag�e en elle-m�me; l�intelligence est plus sp�cialement, dans la vie pratique, le discernement de ce qui est moralement bien ou mal (verset 10 : comparez �ph�siens 1:8, note; Philippiens 1:9; Philippiens 1:10, note).

D�autres traduisent : �?croissant par la connaissance de Dieu?�, celle-ci �tant le moyen des progr�s spirituels. Cette traduction est conforme � une variante tr�s appuy�e et �vite une r�p�tition de la pens�e du verset 9.

Tout ce que l�ap�tre demande � Dieu : connaissance, sagesse, intelligence, se r�sume en cette vie chr�tienne, pratique, sainte, agr�able � Dieu, progressante, pleine de bons fruits.

Dans aucun sens l��vangile n�est un syst�me; �?les paroles que je vous dis sont esprit et vie?�.

Grec : �?Fortifi�s en toute force selon la puissance de sa gloire, pour toute patience et toute longanimit�, avec joie?�. Le sentiment toujours pr�sent dans le c�ur du fid�le, qu�il peut tout attendre de Dieu, et que la puissance glorieuse de Dieu accomplira finalement tout en lui, lui donne un courage invincible, une longue patience dans l��preuve, et le rempli de joie, m�me au sein des douleurs.

Plan

III. Paul ministre de l��vangile aupr�s des pa�ens

Serviteur de l��vangile (23), l�ap�tre se r�jouit de ses souffrances par lesquelles il accomplit les souffrances de J�sus-Christ pour l��glise�; Dieu lui a confi� cette administration du grand myst�re de mis�ricorde, cach� longtemps, maintenant manifest�, et dont la gloire resplendit m�me parmi les pa�ens : Christ en nous, notre esp�rance (24-27).

C�est lui seul que Paul annonce � tous les hommes pour les pr�senter parfaits au dernier jour�; et c�est � quoi il consacre ses travaux et ses combats, selon la force que Christ lui donne (28, 29).

24 � 29 Paul ministre de l��vangile aupr�s des pa�ens

�?Maintenant�?� l�ap�tre est saisi par le contraste entre sa position actuelle de prisonnier et sa fonction de serviteur de l��vangile; mais cette position m�me ne l�emp�chait pas de remplir cet apostolat aupr�s de ses lecteurs. Ces souffrances qu�il endurait pour eux ne leur offraient-elles pas un puissant motif de demeurer fermes dans la foi ! (verset 23) Comparer �ph�siens 3:1; �ph�siens 3:13.

Grec : �?Je remplis enti�rement les manques des afflictions de Christ dans ma chair pour son corps, qui est l��glise?�.

M. Rilliet traduit : �?Je suppl�e, dans ma chair, � ce qui manque aux souffrances de Christ?�. Ce passage est un des plus profonds qui se trouvent dans les �p�tres de Paul. Il faut d�abord �carter avec soin toutes les interpr�tations superficielles ou fausses, qui seraient en contradiction avec les enseignements les plus clairs de l��criture.

Au nombre des interpr�tations superficielles viennent se ranger celles qui consistent � rendre les afflictions de Christ par ces mots : �?afflictions endur�es pour l�amour de Christ, pour sa cause ?�?; ou encore : �?des afflictions semblables � celles de Christ, provenant des m�mes causes, et dont il resterait � Paul � remplir une certaine mesure, ce qui manque encore pour avoir achev� sa t�che ?�?; ou enfin : �?certaines �preuves sp�ciales qui ont manqu� aux afflictions de Christ?�, comme la prison, etc.

Parmi les interpr�tations fausses, il faut signaler :

  1. celle qui tendrait, de quelque mani�re que ce soit, � conclure de ces paroles de l�ap�tre, qu�il a manqu� quelque chose aux souffrances personnelles de Christ pour notre salut, et que l�homme peut y ajouter un compl�ment quelconque;
  2. celle qui attribuerait aux souffrances du chr�tien un caract�re expiatoire, soit pour lui-m�me, soit pour les autres (On sait, en effet, l�usage que le catholicisme a cru pouvoir faire de ce verset isol� de l�ensemble du Nouveau Testament et mal interpr�t�).

Quel en est donc le sens ? Et d�abord :

  1. que signifient ici les afflictions de Christ ? Par ses souffrances, Christ a vaincu le p�ch�, le monde, la mort; par ses souffrances, �?il a �t� consomm�?� (grec), il a atteint la perfection (H�breux 2:10; H�breux 5:9) pour lui-m�me, comme homme, et pour tous ses rachet�s, auxquels il a fray� le chemin de la gloire.Maintenant ceux-ci le suivent dans la voie o� il a march� (Romains 8:17; 2 Corinthiens 1:5); mais cette �?communion de ses souffrances?� (Philippiens 3:10) n�est plus une imitation ext�rieure; il demeure, et vit en eux; ils sont son corps, dont il est la t�te; et comme son Esprit lutte, prie, soupire, s�attriste en eux, (Romains 8:25; Romains 8:26; �ph�siens 4:30) lui-m�me souffre en son corps qui est sur la terre, il est pers�cut� dans ses membres (Actes 9:4; Actes 9:5); ceux-ci portent son opprobre (H�breux 11:26); ils sont �?participants de l�affliction et de la patience du Christ ?�? (Apocalypse 1:9); bien plus, �?ils sont faits une m�me plante avec lui dans sa mort, ils meurent avec lui ?�? (Romains 6:5-8; 2 Corinthiens 5:14; 2 Corinthiens 5:15); ils �?portent toujours, partout, en leur corps la mort du Seigneur J�sus?� (2 Corinthiens 4:10). Ainsi les souffrances des fid�les sont bien les afflictions de Christ, mais ses afflictions dans son corps, qui est l��glise.
    J�sus sera en agonie jusqu�� la fin du monde, il ne faut pas dormir pendant ce temps-l�.� Pascal
    Dans ce sens, mais dans ce sens seul, il reste, il manque aux afflictions de Christ quelque chose qui peut �tre accompli, achev�; c�est tout ce que l��glise doit souffrir jusqu�� ce qu�elle soit consomm�e avec son Chef : et voil� les souffrances auxquelles Paul eut, durant tout son minist�re, une si large part (1 Corinthiens 4:9 et suivants). Mais :
  2. comment un chr�tien peut-il souffrir pour l��glise ou pour le corps de Christ ? Cela ne signifie point qu�il souffre � sa place, dans un sens d�expiation; car Christ, et Christ seul a tout accompli; nul ne peut racheter son fr�re de la mort. Mais il n�en est pas moins vrai que les souffrances, les renoncements, les victoires de chaque membre de l��glise contribuent puissamment au bien de tout le corps, par la communion qui existe entre les membres. Quel affermissement pour la foi de tous dans la constance d�un seul martyr ! Les triomphes que ces g�n�reux confesseurs ont remport�s en d�fendant la v�rit� profitent encore � l��glise apr�s des si�cles. Il en est de m�me de l�influence b�nie du membre le plus obscur de l��glise, souffrant en vrai chr�tien. Combien plus de l��uvre d�un saint Paul ! (comparer 2 Corinthiens 1:6, note.)

Aussi comprenons-nous qu�il se r�jouisse de ses souffrances pour ses fr�res, d�abord parce qu�il aimait ces fr�res, et ensuite parce qu�il avait le sentiment qu�il souffrait avec son Sauveur, portant �?les afflictions de Christ?�, lui �tant rendu semblable (voir sur ce passage un discours de Vinet, dans les �tudes �vang�liques).

C�est-�-dire pour annoncer cette Parole dans toute sa pl�nitude, jusqu�� ce qu�elle ait atteint le but en vue duquel Christ l�a confi�e � son ap�tre.

C�est l� l�administration (grec : �?�conomie?�) que Dieu a donn�e � Paul pour les gentils. Il ne faut pas, avec Calvin et d�autres, entendre ce mot dans le sens beaucoup plus vaste o� il est pris dans �ph�siens 1:10; mais dans le sens ordinaire d�une administration confi�e � un �conome; Paul d�signe par ce terme son apostolat (comparer 1 Corinthiens 4:1; 1 Corinthiens 9:17; 1 Corinthiens 1:7).

Voir sur ce myst�re cach� aux g�n�rations pr�c�dentes et maintenant manifest� �ph�siens 1:9 et surtout �ph�siens 3:4-9, notes.

Les saints ne sont pas seulement �?les ap�tres et proph�tes?�, comme dans �ph�siens 3:5, mais les chr�tiens en g�n�ral.

Voir �ph�siens 3:16-19, notes.

Ces mots : qui est Christ en vous, doivent se rapporter � toute la phrase qui pr�c�de : la richesse de la gloire de ce myst�re, c�est Christ en vous; Christ, sa personne, son �uvre, c�est l� tout l��vangile.

Les mots rendus par en vous peuvent signifier aussi parmi vous, c�est-�-dire, comme l�ap�tre vient de l�exprimer, parmi les pa�ens. Mais la pens�e est plus compl�te, plus profonde, et �vite une r�p�tition en traduisant en vous (comparer �ph�siens 3:17; Galates 2:20).

D�ailleurs, ce n�est r�ellement que quand Christ vit en nous, qu�il est pour nous l�esp�rance de la gloire (comparer Colossiens 3:3; Colossiens 3:4).

La condition glorieuse, d�crite par ces paroles, fait avec l��tat pr�c�dent des pa�ens un contraste dont l�ap�tre est saisi : ils �taient �?sans Christ, n�ayant point d�esp�rance ?�? (�ph�siens 2:12); maintenant, Christ en eux est pour eux l�esp�rance de la gloire ! (comparer 1 Timoth�e 1:1; Romains 5:2)

Ce n�est pas seulement pour combattre le particularisme juif que l�ap�tre insiste tant sur ce mot tout homme; mais parce qu�il ne croyait pas avoir rempli sa t�che aussi longtemps qu�il n�avait pas instruit et averti chacun de ceux sur qui pouvait s�exercer son minist�re (comparer Actes 20:31).

Au reste, le but de la pr�dication est de conduire tout homme � la perfection. Mais cette perfection est tout enti�re en Christ, et quiconque est en Lui sera conduit � ce glorieux but par le seul d�veloppement de la vie de Christ au dedans de lui. C�est l� la sagesse souveraine � laquelle Paul emprunte toute lumi�re, il n�en conna�t point d�autre.

Il faut remarquer encore sur ce verset :

  1. qu�il y a une intention pol�mique contre les faux docteurs dans ces premiers mots : lui (et lui seul) que nous, nous annon�ons;
  2. que ces termes : �?pr�senter tout homme?� (sous-entendu : � Dieu) reportent la pens�e au jour du jugement, aussi bien que ces mots : �?l�esp�rance de la gloire?� (verset 27). Paul pr�sentant � Dieu, en ce jour solennel, une �me immortelle avertie, instruite par lui, c�est une grande pens�e, effac�e par nos versions ordinaires qui traduisent : �?rendre tout homme parfait?�.

Ce n�est qu�� force de travaux et de combats que Paul pouvait atteindre le but indiqu� (verset 28). Quel argument pour exciter la confiance et le z�le de ses lecteurs ! Voir aussi Colossiens 2:1.

Mais toutes les fois que l�ap�tre parle de lui-m�me et de son �uvre, il se montre saintement jaloux d�attribuer toute sa puissance � Christ � qui il en rend gloire (verset 28). De plus, l��glise de Colosses, en danger d��tre s�duite par de faux docteurs, devait comprendre que cette puissance divine qui agissait en saint Paul �tait un sceau de Dieu, appos� � son apostolat (comparer �ph�siens 3:20).

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Colossians 1". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/colossians-1.html.
 
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