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Bible Commentaries
Matthieu 21

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versets 1-46

Plan

J�sus questionn� sur son autorit�

J�sus enseignant dans le temple, une d�putation vient lui demander par quelle autorit� il agissait. J�sus leur r�pond par une question : Le bapt�me de Jean �tait-il du ciel ou des hommes ? Les adversaires, craignant soit d��tre convaincus d�incons�quence, soit de se compromettre aupr�s du peuple qui tenait Jean pour un proph�te, r�pondent : Nous ne savons. Alors J�sus refuse aussi de r�pondre sur l�origine de son autorit� (23-27).

La parabole des deux fils

Apr�s avoir repouss� l�attaque, J�sus prend l�offensive, en caract�risant. la conduite de ses adversaires dans la parabole suivante : Un homme a deux fils qu�il invite � aller travailler dans sa vigne; l�un refuse d�abord, mais s��tant repenti, il y va; l�autre dit avec empressement : Oui, seigneur ! Mais n�y va point. Lequel a fait la volont� de son p�re ? Ils sont contraints de r�pondre que c�est le premier. J�sus leur applique alors directement la parabole en leur disant : Les p�agers et les femmes de mauvaise vie vous devancent dans le royaume de Dieu, car ils ont cru � la pr�dication de Jean-Baptiste, mais vous, vous n�y avez point cru et vous ne vous �tes point repentis � leur exemple (28-32).

La parabole des vignerons

Dans cette seconde parabole, J�sus repr�sente la conduite des chefs du peuple dans le pass�, le pr�sent et l�avenir : Un ma�tre de maison planta une vigne, y �donna tous ses soins puis la loua � des vignerons. La saison des fruits �tant venue, il envoya ses serviteurs pour les recevoir; mais les vignerons les maltrait�rent. Il en envoya d�autres qui furent maltrait�s encore. Enfin il leur envoya son propre fils, pensant qu�il serait respect�. Mais les vignerons, voyant en lui l�h�ritier, le jet�rent hors de la vigne et le tu�rent pour s�emparer de son h�ritage. Que fera donc le ma�tre ? � cette question, les auditeurs de J�sus r�pondent eux-m�mes : Il fera p�rir ces mis�rables et louera la vigne � d�autres. C�est ainsi, reprend J�sus, en appuyant sa d�claration d�une parole de l��criture, que le royaume de Dieu vous sera �t� et qu�il sera donn� � une nation qui en produira les fruits (33-44).

L�effet produit

Les sacrificateurs et les pharisiens comprennent alors que c��tait d�eux-m�mes que J�sus parlait; ils cherchent � se saisir de lui, mais ils craignent le peuple (48-46).

Comparer Marc 11:27-33; Luc 20:1-8.

La grande lutte dans le temple entre J�sus et ses adversaires commence. Le peuple en suit les p�rip�ties avec int�r�t. Sa faveur met momentan�ment J�sus � l�abri des entreprises de ses ennemis. Le but de ceux-ci, dans les questions qu�ils lui posent, est de l�amener � des affirmations qui lui ali�neront la sympathie de la foule et pourront aussi servir de motifs de condamnation.

Les principaux sacrificateurs et les anciens faisaient partie du sanh�drin, le conseil souverain, qui avait la plus haute autorit� en mati�re civile et religieuse. Ils viennent � J�sus comme d�putation officielle.

Leur double question est tr�s pr�cise : Quelle est ton autorit� ? Et de qui la tiens-tu ? Nous, semblent-ils dire, nous ne t�avons point donn� d�autorit� : es-tu donc un envoy� direct de Dieu ?

Mais qu�entendent-ils par ces choses que J�sus faisait et qui les offusquent ? �tait-ce son enseignement, dans lequel ils viennent l�interrompre, ou toute son action � J�rusalem depuis son entr�e royale dans cette ville, ou enfin et surtout la purification du temple (verset 12 et suivants) ?

Les interpr�tes se divisent sur ce point, mais il n�y a pas de doute que ce dernier acte d�autorit� ne f�t le principal grief des membres du sanh�drin. Ils esp�raient que J�sus d�clarerait qu�il avait le droit de faire la police dans le temple, parce qu�il s�y trouvait dans la maison de son P�re (Luc 2:49), �tant le Fils de Dieu. Ils savaient quelle r�pugnance le peuple avait toujours montr�e � accepter de J�sus une affirmation cat�gorique de sa divinit� (Jean 5:18; Jean 8:59; Jean 10:31-39).

En la lui arrachant � ce moment, ils pensaient �branler, ruiner peut-�tre du coup sa popularit�.

Grec : Je vous demanderai, moi aussi, un seul mot ou une seule parole.

Cette question de J�sus correspondait exactement � la leur. Elle n��tait nullement un faux-fuyant ni une mani�re de les r�duire au silence, mais un trait p�n�trant de v�rit� jet� dans leur conscience.

Si en effet le bapt�me de Jean, c�est-�-dire tout son minist�re au sein d�Isra�l, �tait de Dieu, alors l�autorit� de J�sus ne pouvait �tre douteuse.

Car Jean lui avait rendu t�moignage par le Saint-Esprit (Jean 1:19-34). De plus, le bapt�me de Jean �tait un bapt�me de repentance administr� � ceux que sa pr�dication avait convaincus de p�ch�. Si donc les chefs du peuple avaient cru � cette pr�dication, s�ils s��taient repentis, ils auraient cru aussi au Sauveur annonc� par Jean.

La question de J�sus �tait embarrassante pour ses adversaires. S�ils voulaient contester l�autorit� de J�sus, ils devaient nier que Jean fut un envoy� de Dieu. Mais cette r�ponse, ils ne pouvaient y avoir recours (verset 26).

Les membres du sanh�drin se retirent � l��cart et se mettent � raisonner entre eux.

Ils se d�battent entre les deux termes du dilemme que J�sus leur a pos�. Ils ne trouvent d�autre issue que d�avouer leur ignorance et leur incomp�tence � se prononcer sur l�une des plus importantes manifestations religieuses de leur temps.

La crainte de la foule les retient de se d�clarer ouvertement contre Jean-Baptiste. La v�n�ration dont le peuple entourait la m�moire du proph�te �tait si profonde, qu�une telle attitude leur e�t fait courir les plus grands risques; ils sont forc�s de se dire : �?Tout le peuple nous lapidera?� (Luc 20:6).

Ils se r�fugient donc dans cette d�faite : Nous ne savons; aveu humiliant pour eux, les conducteurs spirituels de la nation; car leur devoir sacr� e�t �t� d�examiner la mission de Jean et de la recommander au peuple ou de s�y opposer, selon qu�elle �tait de Dieu ou des hommes.

Quelle confusion pour ces hommes et quel jugement de Dieu dans ce refus.

Le manuscrit B et quelques versions intervertissent l�ordre de ces deux fils, en sorte que celui qui se repent et ob�it serait le second. La r�ponse (verset 31) est alors : Le dernier.

Quelques critiques et ex�g�tes pr�f�rent cette le�on.

Matthieu seul a conserv� cette courte mais frappante parabole par laquelle J�sus, apr�s avoir contraint ses adversaires � avouer qu�ils �taient incomp�tents pour le juger (verset 27), les oblige � se juger eux-m�mes et � prononcer leur propre condamnation.

Il y a dans ces termes choisis : deux enfants, mon enfant, l�expression de la tendresse du p�re comme aussi du droit qu�il a d��tre ob�i. C�est par amour qu�il les invite � aller travailler � sa vigne, qui est le royaume de Dieu (verset 33 et suivants; Matthieu 20:1 et suivants).

Le premier, d�abord insensible � cet amour, refuse nettement, franchement. Mais, bient�t, p�n�tr� d�une sinc�re repentance, il y va et ne travaille qu�avec plus d�ardeur.

L�autre, au contraire, r�pond sans h�siter : Oui, seigneur (grec, moi, seigneur); moi, bien diff�rent de mon fr�re, j�y vais; mais malgr� cette prompte ob�issance des l�vres, malgr� ce mot respectueux de seigneur il n�y alla point.

Quelle psychologie profonde dans ce contraste ! Une premi�re r�sistance � la volont� de Dieu laisse beaucoup plus d�espoir pour le salut d�une �me que cette l�che indiff�rence, toujours pr�te � dire oui, mais qui n�a aucune �nergie pour ob�ir (Apocalypse 3:16). J�sus, par la question qui termine son r�cit, tire de la bouche m�me de ses interlocuteurs la confession de cette v�rit�.

J�sus fait brusquement l�application de cette parabole � ses auditeurs.

Le premier des deux fils repr�sente ces grands p�cheurs qui avaient d�abord r�sist� aux commandements de Dieu, mais qui, � la voix puissante de Jean-Baptiste (verset 32), s��taient repentis et convertis.

Le second fils est l�image de ces pharisiens qui paraissaient accepter toute la loi de Dieu et s�y soumettre, mais qui, par leur formalisme, n�en vivaient pas moins pour le monde et ses convoitises. M�me la pr�dication de Jean-Baptiste ne put vaincre leur endurcissement et leur orgueil. Bien plus, l�exemple de tant de p�cheurs repentants resta sans influence sur eux.

En effet, il faut lire, d�apr�s B et les versets : �?Mais vous, ayant vu cela, vous ne vous �tes pas m�me repentis ensuite?�. Les mots : dans la voie de la justice, caract�risent a la fois la vie et le minist�re de Jean-Baptiste, qui furent tous deux une proclamation de la justice divine. Une telle pr�dication est dans tous les temps le seul moyen de r�veiller les consciences et d�amener les p�cheurs � se repentir.

Comparer Marc 12:1-12; Luc 20:9-19. L�id�e de cette parabole et plusieurs d�tails sont emprunt�s � �sa�e 5:1 et suivants. On sait combien le Seigneur aimait � rattacher ses enseignements � l�Ancien Testament. Mais la similitude est admirablement d�velopp�e en vue du but que J�sus se proposait. Ce but est �vident : apr�s avoir reproch� aux membres du sanh�drin qui l��coutaient (verset 23) leur imp�nitence, J�sus va leur faire sentir, par cette tragique histoire, leur culpabilit�; apr�s les avoir amen�s � prononcer leur propre jugement (verset 31), il va les juger � son tour en leur retra�ant la conduite inique des chefs d�Isra�l dans tous les temps. Eux-m�mes combleront la mesure de ces iniquit�s par le meurtre de celui qui leur parle (verset 39).

Une haie ou cl�ture servait � prot�ger la vigne contre toute d�vastation du dehors. Le pressoir se creusait, chez les Orientaux, dans la vigne m�me. Il se composait de deux bassins superpos�s, dont l�un servait � recevoir les raisins qu�on y jetait pour �tre foul�s; l�autre, plac� en dessous, �tait destin� � recueillir le mo�t qui y coulait. Enfin la tour �tait un �difice de garde, b�ti au milieu du vignoble et d�o� l�on pouvait le surveiller tout entier. Il n�est pas n�cessaire de chercher � ces traits, qui ornent le r�cit et donnent � la parabole un caract�re si pittoresque, un sens symbolique. Ils servent, d�une fa�on g�n�rale, � montrer que le ma�tre de la vigne ne lui �pargne aucun soin.

Grec : il la remit � des agriculteurs et s�expatria (voir l�explication de la parabole verset 43, note). Cela ne veut pas dire que ces agriculteurs auraient � payer en argent le produit annuel de la vigne; le ma�tre avait conclu avec eux un march� pour la culture de sa vigne; il devait recevoir tout ou partie de ses produits en nature (verset 34).

Ses fruits, auxquels il a droit, qui lui sont dus, en vertu du contrat. C�est � tort qu�on traduit ordinairement par : �?les fruits de la vigne?�.

Battre, tuer, lapider : gradation dans la m�chancet� jusqu�� un supplice cruel.

Le ma�tre avait bien le droit de s�attendre � ce respect, car il leur envoie son �?fils unique, son bien-aim�?� (Marc 12:6, note; comparez H�breux 1:1-2).

Jusqu�ici les vignerons ont maltrait� et tu� les serviteurs du ma�tre, afin de ne pas lui livrer ses fruits; maintenant qu�ils tiennent l�h�ritier, ils pensent qu�en le mettant � mort, rien ne pourra s�opposer � ce qu�ils prennent possession de son h�ritage.

Les mots : ils le jet�rent hors de la vigne et le tu�rent, servent � d�crire vivement cette sc�ne tragique, et il est douteux qu�il faille y voir une pr�diction du fait que J�sus fut crucifi� hors de J�rusalem (voir Marc 12:8, note).

Comparer verset 43. J�sus, par une question directe, force ses adversaires � prononcer sur eux-m�mes la terrible sentence qu�ont m�rit�e les vignerons.

Le moment n�est pas �loign� o� le peuple entier en fera autant pour son propre compte (Matthieu 27:25); et l�on sait avec quelle effroyable rigueur cette sentence fut ex�cut�e quarante ans plus tard.

Dans Marc et Luc, c�est J�sus lui-m�me qui fait la question et la r�ponse. Le r�cit de Matthieu est plus dramatique : la conscience des interlocuteurs de J�sus les force � prononcer la condamnation des vignerons, c�est-�-dire leur propre condamnation.

C�est encore Matthieu seul qui a conserv� ce rapprochement de termes, qui fait ressortir combien la condamnation est � la fois s�v�re et m�rit�e : Il fera p�rir mis�rablement ces mis�rables. Mais ces mots, dans la bouche des adversaires, prouvent qu�ils ne s��taient pas encore reconnus dans la personne des vignerons.

Psaumes 118:22, cit� d�apr�s les Septante.

Par ces paroles des �critures, si connues de ses auditeurs, et que J�sus s�applique � lui-m�me, il veut faire sentir aux chefs de la th�ocratie quel est ce fils de la parabole qui a �t� rejet�, mis � mort par les vignerons. Eux-m�mes sont les constructeurs insens�s et coupables qui ont r�prouv� la pierre de l�angle.

Cette pierre, dans l�image employ�e par le psalmiste, est celle qui, plac�e comme fondement � l�angle d�un b�timent, supporte deux murs et soutient tout l��difice. Voil� ce qu�est J�sus-Christ dans le temple spirituel qui va s��lever � la gloire de Dieu.

Cette destin�e glorieuse, qui fait contraste avec sa r�jection par les hommes, est l��uvre et la volont� expresse de l��ternel et restera l�objet de l�admiration des si�cles (comparer �sa�e 28:16, Actes 4:11; Romains 9:33; 1 Pierre 2:6).

Application directe du verset 41 et de la parabole tout enti�re.

Ces mots : je vous dis, vous sera �t�, d�signent nettement les adversaires que J�sus avait devant lui comme �tant les vignerons de la parabole et les constructeurs qui ont rejet� la pierre de l�angle. Et telle est la raison de la sentence qu�il prononce (c�est pourquoi).

Pour en bien comprendre la signification, il faut jeter un regard sur l�ensemble de la parabole. Le ma�tre de maison qui planta une vigne et y donna tous ses soins, c�est Dieu qui, dans sa grande mis�ricorde, fonda sur cette terre plong�e dans les t�n�bres par suite du p�ch�, un royaume de v�rit�, de justice et de paix. Il le confia � son peuple d�Isra�l, en particulier aux chefs de la th�ocratie juive. Il avait le droit d�en attendre et d�en exiger les fruits, fruits de la vie religieuse et morale : reconnaissance, amour, ob�issance, saintet�.

Les serviteurs qu�il envoya � diverses reprises pour recueillir ces fruits sont ses saints proph�tes, qui, h�las ! Furent de tout temps rejet�s par le grand nombre, pers�cut�s, mis � mort (Matthieu 5:12; Matthieu 23:31-37; H�breux 11:35-38).

Quant au fils que le ma�tre de maison envoya ensuite dans son immense amour (Jean 3:16), l��vangile tout entier nous dit qui il est, et nous l�entendons, dans cette parabole m�me, pr�dire sa r�jection et sa mort. Les chefs de la th�ocratie de son temps eurent, malgr� leur incr�dulit�, le pressentiment qu�il �tait l�h�ritier et qu�en le mettant � mort ils resteraient les ma�tres et les possesseurs du royaume. Mais eux-m�mes, en pronon�ant sur les vignerons ce double jugement, que la vigne leur serait �t�e et qu�ils p�riraient mis�rablement, proclam�rent leur propre condamnation.

Et c�est cette sentence que J�sus confirme par ces mots : le royaume de Dieu vous sera �t�, vous en serez exclus, et il sera donn�, par pure gr�ce, � une nation, peuple de Dieu choisi du sein de tous les peuples, qui en produit les fruits. J�sus ne dit pas : produira, selon nos versions. Il parle au pr�sent, parce que d�j� il voit sous ses yeux les premiers fruits de ce nouveau royaume. On sait comment cette proph�tie fut accomplie par la destruction de J�rusalem et la ruine de la th�ocratie juive, et par l��tablissement du royaume de Dieu parmi les nations pa�ennes. La parabole des vignerons, comme tant d�autres d�clarations, montre que tout l�avenir de son r�gne �tait devant les yeux du Sauveur.

Grec : le r�duira en poussi�re, le dispersera comme de la poussi�re, ou plus litt�ralement encore, le criblera, vannera. Isra�l sera ch�ti� non seulement en ce que le royaume lui sera enlev�, mais en ce que lui-m�me sera d�truit. Ce verset exprime le c�t� positif et terrible du ch�timent, dont le verset 43 indique le c�t� n�gatif.

L�image employ�e est pr�sent�e sous deux faces diff�rentes.

D�abord la pierre est consid�r�e comme gisant sur le sol, et l�incr�dulit� aveugle vient s�y briser (�sa�e 8:14-15). C�est le Sauveur dans son �tat d�humiliation.

Ensuite, cette m�me pierre est consid�r�e comme tombant sur les rebelles et les r�duisant en poussi�re, c�est le Sauveur dans sa gloire exer�ant le jugement (Daniel 2:34).

Mais ces paroles, qui se retrouvent litt�ralement dans Luc � la suite de la m�me parabole, ne paraissent pas � leur place dans Matthieu. La parabole semble en effet termin�e avec verset 43.

Aussi Griesbach, Lachmann, Tregelles, Westcot et Hort r�voquent-ils en doute le verset 44, tandis que Tischendorf le supprime tout � fait. Il est vrai que ces critiques se fondent sur D seulement et sur les indications de quelques P�res, en particulier d�Orig�ne. D�autres trouvent ces autorit�s insuffisantes. B. Weiss d�clare le verset 44 certainement authentique; s�il avait �t� pris dans Luc, on l�aurait introduit apr�s le verset 42.

Ainsi, l�annonce des plus redoutables jugements de Dieu, clairement comprise par ceux qui l�entendent, vient se heurter � leur endurcissement et ne fait qu�exciter leur haine et leurs desseins meurtriers. Ce triste r�sultat des discours qui pr�c�dent inspira � J�sus la parabole du Matthieu 22:1 et suivants

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Matthew 21". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/matthew-21.html.
 
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