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Bible Commentaries
1 Chroniques 16

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versets 1-43

Chapitres 14 à 16:6

Victoires de David. Fruits de la grâce dans son cœur. Son association avec la famille lévitique.

Ces chapitres nous montrent la grâce à laquelle, en somme, la faute de David avait fourni l’occasion de se manifester, opérant dans le cœur du roi l’humiliation et l’obéissance à la Parole, dont il s’était écarté sur un point.

Le chap. 14:1-7 correspond à 2 Sam. 5:10-15. Nous y voyons les nations, dans la personne de Hiram, reconnaître la suprématie de l’oint de l’Éternel et rechercher sa faveur. «Et Hiram, roi de Tyr, envoya des messagers à David, et des bois de cèdres, et des maçons, et des charpentiers, pour lui bâtir une maison. Et David connut que l’Éternel l’avait établi roi sur Israël, car son royaume était haut élevé à cause de son peuple Israël» (14:1-2). Dieu montre à son serviteur David qu’il accomplit envers lui ses conseils de grâce en l’établissant roi sur son peuple et en lui soumettant les nations.

Après la soumission de Hiram, nous trouvons les victoires sur les Philistins (v. 8-16; cf. 2 Sam. 5:17-25), suivies dans les Chroniques de cette remarque caractéristique: «Et le nom de David se répandit dans tous les pays; et l’Éternel mit la frayeur de David sur toutes les nations» (v. 17). Ainsi l’Éternel lui-même répand la domination du roi sur les nations par des victoires qui dépendent entièrement de son obéissance à la parole de Dieu (v. 10, 14), leçon qu’il avait apprise par la «brèche d’Uzza».

La descendance complète de David à Jérusalem nous est donnée pour la seconde fois dans ce livre (3:5-8; 14:3-7): (Elpéleth et Nogah ne sont pas mentionnés en 2 Sam. 5:14-16). Cette répétition a pour but de nous montrer que les conseils de Dieu, au sujet de la royauté, s’accomplissent au moment où le roi trouve en Sion un lieu de repos pour l’arche de Dieu.

Le commencement du chap. 15 (v. 1-13) est très remarquable: «David dit: Il ne convient pas que l’arche de Dieu soit portée par personne excepté les Lévites; car l’Éternel les a choisis pour porter l’arche de Dieu et pour en faire le service à toujours» (v. 2). Puis, parlant aux Lévites: «Vous êtes les chefs des pères des Lévites; sanctifiez-vous, vous et vos frères, et faites monter l’arche de l’Éternel, le Dieu d’Israël, au lieu que je lui ai préparé. Car, parce que vous ne l’avez pas fait la première fois, l’Éternel, notre Dieu, a fait une brèche parmi nous; car nous ne l’avons pas recherché conformément à l’ordonnance» (v. 12, 13). Ces passages manquent dans le second livre de Samuel, et, si les Chroniques ont, par exception, enregistré la faute de David, c’est afin de nous présenter l’admirable confession que la grâce finit par produire en lui.

Le passage compris entre les chap. 15:14 et 16:6 est bien plus explicite que 2 Sam. 6:12-23. Ce qui frappe avant tout, c’est l’ordre institué par David, dans la famille lévitique, au sujet du retour de l’arche. Selon la pensée de Dieu, exprimée en 1 Sam. 2:35, la sacrificature est désormais dépendante de la royauté. Tout est réglé par David. Il est lui-même «vêtu d’une robe de byssus, ainsi que tous les Lévites qui portaient l’arche» (v. 27). «Il a sur lui un éphod de lin» (ibid), comme jadis Samuel le prophète (1 Sam. 2:18). «Il offre des holocaustes et des sacrifices de prospérités» (16:2). Son identification avec la sacrificature va plus loin encore, car, semblable à Melchisédec, «il bénit le peuple au nom de l’Éternel» (ibid). Enfin, comme vrai oint de l’Éternel, il rassasie de pain ses pauvres (v. 3; Ps. 132:15-17). Il revêt ainsi tous les caractères de lévite, de prophète, de sacrificateur aaronique, de sacrificateur éternel et de roi qui pareront le Christ, homme des conseils de Dieu, quand il paraîtra dans son royaume.

C’est David qui, non seulement ordonne aux Lévites de transporter l’arche «comme Moïse l’avait commandé, selon la parole de l’Éternel» (v. 15), mais qui établit des chantres, des joueurs d’instruments et des «portiers pour l’arche» dont les noms mêmes sont énumérés. Au milieu d’eux le nom d’Obed-Édom, répété quatre fois (et encore deux fois au chap. 16:38), brille entre tous. Il est portier pour le tabernacle, avec les fils de Merari; il est chantre, portier pour l’arche, joueur d’instruments. Obed-Édom, témoin et objet de la grâce du Dieu qui avait béni sa maison et tout ce qui lui appartenait (13:14) à cause de la présence chez lui du trône de l’Éternel, obtient une mention toute particulière dans le livre des conseils de Dieu en grâce.

Remarquons combien souvent le nom de «Dieu» est substitué dans ces chapitres au nom de «l’Éternel» mentionné dans les passages correspondants de 2 Sam. L’amour et la grâce sont bien plus en relation avec le premier de ces noms qu’avec le second qui parle plutôt de sa justice, de sa sainteté et de sa fidélité à Sa parole.

Chapitre 16:7-43

Le cantique du début de la royauté.

Le Psaume de David, contenu dans ces versets, correspond à la pensée dirigeante des Chroniques, et diffère entièrement du cantique mentionné en 2 Sam. 22 et qui n’est autre que le Psaume 18. Ce dernier se place tout à la fin de l’histoire de David, quand «il est délivré de la main de tous ses ennemis et de la main de Saül»: il célèbre les délivrances de l’Éternel à l’égard de celui qui se confie en lui (v. 3), délivrances qui ont commencé avec la sortie d’Israël hors d’Égypte (v. 8-16). Puis il expose les principes du gouvernement de Dieu envers les siens: «Avec celui qui use de grâce, tu uses de grâce; avec l’homme parfait, tu te montres parfait; avec celui qui est pur, tu te montres pur; et avec le pervers, tu es roide» (v. 27-28); puis ces mêmes principes envers leurs ennemis (v. 29). Cela n’exclut nullement la grâce envers ses bien-aimés, car tout ce qu’il y a de bon dans leurs voies dépend de leur confiance en Lui (v. 32). Enfin, tous les ennemis ayant été vaincus, l’oint de l’Éternel est établi comme chef des nations et les peuples lui sont assujettis (v. 45, 49). Tel est en quelques mots ce magnifique Ps. 18 que nous trouvons en 2 Sam. 22 comme le dernier hymne prophétique de David. Il n’est suivi au chap. 23 que des dernières paroles du roi, quand il s’humilie de sa conduite, reconnaît le juste gouvernement de Dieu envers lui, mais célèbre sa grâce aussi immuable que ses promesses et proclame la venue du juste Dominateur que lui, David, s’était montré inhabile à représenter ici-bas.

Tout autre est le cantique de 1 Chron. 16. Il est l’hymne du commencement de la royauté, proclamée par l’établissement de l’arche en Sion, arche entrée enfin dans son repos, comme le trône de Dieu au milieu de son peuple. En effet, ce cantique se lie intimement au retour de l’arche. «Alors, en ce jour», est-il dit, «David remit ce Psaume entre les mains d’Asaph et de ses frères».

Ce Psaume est appelé «le premier», pour célébrer l’Éternel. Le sujet n’est pas, comme en Samuel, la victoire sur les méchants, la responsabilité des saints et le gouvernement de Dieu à leur égard, mais la fidélité de Dieu à ses promesses, accomplies enfin par le retour de l’arche en Sion, quand Israël avait perdu tout droit à la conserver au milieu de lui.

Mais, avant de continuer l’examen de notre chapitre, je voudrais faire une digression en rapport avec son contenu et celui du livre tout entier que nous étudions.

Il est de toute importance de remarquer que les voies de Dieu en gouvernement, et ses conseils de grâce sont deux choses entièrement distinctes.

Les conseils de Dieu et la manière dont ils devaient s’accomplir à notre égard existaient de toute éternité; ils ont trouvé leur réalisation en Christ, l’homme parfait que Dieu a élevé à sa droite, nous donnant les mêmes bénédictions et la même gloire qu’à Lui. En ce qui nous concerne, ces conseils de Dieu sont réalisés par pure grâce. Cette grâce est invariable, inaltérable, assurée pour toujours à ceux qu’elle a sauvés par la foi en Christ.

Le gouvernement de Dieu est en contraste avec ses conseils. Ce gouvernement se lie à la responsabilité de l’homme et a existé dès le commencement de son histoire. Il s’est manifesté d’abord en Éden où l’homme, innocent mais responsable, ayant désobéi, a été chassé du jardin et assujetti à la mort. Dès ce moment-là le gouvernement de Dieu continue à s’exercer envers l’homme, responsable de se conduire dans ce monde d’une manière conforme à la justice, à la sainteté et à la bonté de son Créateur qui récompense les bons et punit les méchants. Sans doute, il fait luire, d’autre part, son soleil sur les justes et sur les injustes, parce qu’il est un Dieu de bonté qui, au lieu de vouloir la mort du pécheur, le pousse à la repentance par son support et sa longue patience. Il n’en est pas moins vrai que les méchantes actions des hommes portent leurs conséquences, la plupart du temps pour eux-mêmes dès ici-bas, et souvent pour leurs enfants, jusqu’à la troisième et quatrième génération. Mais, au cas où ils ne seraient pas jugés dans ce monde, le dernier mot du gouvernement de Dieu à leur égard sera prononcé dans le jugement final.

Quant aux élus, il faut bien se souvenir qu’en vertu de la chute et du péché, dès lors inhérent à leur nature, aucun d’eux, pas même un seul, n’est juste. Mais Dieu, par la foi et par l’Esprit qui en est le sceau, leur communique une nouvelle nature, un cœur capable de l’aimer, de l’honorer, de le servir. Ils sont les objets de la grâce et deviennent, par la foi en Christ, les objets de la faveur de Dieu. Ce fait immense répond aux conseils de Dieu qui, de toute éternité, voulait trouver, par Christ, son bon plaisir dans les hommes. Pour obtenir ce résultat il fallait vaincre Satan qui a engendré et provoqué le péché, abolir le péché lui-même, annuler toutes ses conséquences. C’est le résultat de l’œuvre de Christ à la croix.

Mais la nouvelle nature qu’il possède ne détruit en aucune façon la responsabilité du nouvel homme. Il doit conserver la position de relation avec Dieu et avec Christ, dans laquelle la grâce l’a placé. Ayant encore la chair, le vieil homme en lui, il est responsable de se conduire devant Dieu, selon la nouvelle nature et non selon l’ancienne. La puissance de la nouvelle vie, le Saint Esprit, l’en rend capable. Telle est la raison du gouvernement de Dieu envers les élus, ses enfants. S’ils font le bien, ils sont les objets de la faveur de Dieu ici-bas, s’ils font le mal, de son jugement, et ce jugement est d’autant plus prompt et direct, qu’ils font partie du peuple racheté: «Le jugement commence par Sa maison». Quant aux élus individuellement, il est impossible que ce jugement, qui ne peut les atteindre que sur la terre, ait un autre but que leur restauration finale; quant à l’Église, corps de Christ, elle n’est jamais jugée; mais l’Église, maison de Dieu, peut être jugée définitivement, et le Seigneur viendra sur elle comme un voleur.

Il n’y a qu’un cas où le jugement soit définitif et sans miséricorde, celui où le monde, l’homme pécheur, religieux ou non, est réfractaire à tous les appels de la grâce.

Outre les voies de Dieu envers les rachetés, envers sa maison et envers les hommes, il y a un gouvernement plus général. Dieu est attentif à tout ce qui concorde avec les préceptes de sa justice et de sa sainteté. L’homme qui honore son père et sa mère, ou bien le jeune homme de l’Évangile, aimable sans être converti, prospèrent sur la terre. L’homme intègre de cœur et qui ne fait pas tort à son prochain, en retire des avantages terrestres, car le gouvernement de Dieu s’exerce sur la terre quoique son siège soit dans le ciel. Dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre il n’y aura plus de trône, ni par conséquent de gouvernement. C’est ce gouvernement, soit envers les saints, soit à l’égard des bons et des méchants, dont les livres de Samuel et des Rois nous entretiennent; tandis que les Chroniques nous parlent des conseils et de l’élection de grâce. Seulement elles établissent en premier lieu, soit dans le cas de la descendance naturelle, soit dans l’exemple de Saül, que la chair ne peut avoir part à ces conseils. De là vient, comme nous l’avons remarqué, que les fautes des élus y sont entièrement passées sous silence, sauf quand elles sont nécessaires pour montrer que Dieu peut même s’en servir pour accomplir ses conseils de grâce. Il en fut ainsi des événements qui marquèrent le retour de l’arche.

Revenons maintenant à l’examen de notre chapitre. Le Cantique qui y est rapporté (v. 8 à 36) est composé des fragments de trois Psaumes. Aux v. 8 à 22 correspond le Ps. 105:1-15; aux v. 23 à 33 le Ps. 96:1-12; enfin, aux v. 34 à 36, le Ps. 106:1, 47, 48.

1° Les 15 premiers versets du Ps. 105 sont un appel à célébrer l’Éternel à cause de son alliance «faite avec Abraham, jurée à Isaac, établie pour Jacob comme statut, pour Israël comme alliance perpétuelle, disant: Je te donnerai le pays de Canaan, le lot de votre héritage» (v. 16-18). C’est la pure alliance de grâce, la fidélité de Dieu à ses promesses, en contraste avec l’alliance de Sinaï, basée sur la responsabilité du peuple. Le passage cité se termine par ces mots: «Il ne permit à personne de les opprimer, et il reprit des rois à cause d’eux, disant: Ne touchez pas à mes oints, et ne faites pas de mal à mes prophètes» (v. 21, 22). Nous ne trouvons pas un mot de l’oppression d’Israël par les nations, à la suite de sa désobéissance. Tout est libre grâce dans ce passage. Cela est d’autant plus frappant que la deuxième partie du Psaume 105, omise ici, ne pourrait pas cadrer avec le but que nous venons de signaler. En effet, aux v. 16 à 22 de ce Psaume nous voyons Joseph rejeté par ses frères et vendu comme esclave, puis établi dominateur des nations, ce qui nous ramène à l’histoire de la responsabilité d’Israël. Aux v. 23 à 45 nous trouvons la délivrance d’Égypte, la marche à travers le désert sous la conduite de Moïse et d’Aaron, enfin l’entrée du peuple en Canaan, «afin qu’ils gardassent ses statuts et qu’ils observassent ses lois»; et nous savons à quoi aboutit ce régime de la loi.

Cette première partie laisse donc entièrement de côté l’histoire du peuple responsable, pour faire ressortir la grâce et les promesses bien avant la loi.

2° Les v. 1 à 12 du Ps. 96 contiennent l’appel fait à Israël, de célébrer l’Éternel parmi les nations, et les nations elles-mêmes sont appelées à lui rendre la gloire et la force, disant partout: l’Éternel règne.

Cette section est remarquable par les omissions de détails qui cadrent avec le règne de Christ, mais ne cadreraient pas avec le règne de David. Ainsi notre v. 23 omet le «Cantique nouveau» du Ps. 96:1 qui est toujours en rapport dans la Parole avec une scène nouvelle soit sur la terre, soit dans les cieux. Or cette condition ne sera remplie que sous le règne de Christ. Notre v. 27 dit: «La force et la joie sont dans le lieu où il habite» et le Psaume au v. 6: «La force et la beauté sont dans son sanctuaire». Ce n’était pas encore la beauté du règne de Christ, quoique ce fût la joie du règne de David à son début, et le sanctuaire n’avait pas encore été bâti pour l’arche. De même notre chapitre dit au v. 29: «Entrez devant Lui» au lieu de: «Entrez dans ses parvis» (v. 8 du Psaume), et cela toujours en rapport avec l’état transitoire du règne de David. Enfin les mots du v. 33 «Car il vient pour juger la terre» remplacent les paroles du Psaume (v. 13): «Car il vient, car il vient pour juger la terre: il jugera le monde avec justice et les peuples selon sa fidélité». Une telle plénitude de gouvernement ne pouvait correspondre au règne de David,

3° La troisième section de notre chapitre (v. 34-36) est une citation des v. 1, 47 et 48 du Ps. 106. Le premier verset: «Célébrez l’Éternel, car il est bon, car sa bonté demeure à toujours!» est bien approprié au caractère des Chroniques et au moment où David donnait son «premier» Psaume. Ce Cantique sera chanté dans le millénium, mais il pouvait l’être à l’aube du règne de David et du règne de Salomon (2 Chron. 5:13), au moment où Dieu réalisait en type ses conseils de grâce envers la royauté. Notre passage ne traite que de l’établissement de l’arche en Sion, et omet absolument tout le reste du Psaume, car ce dernier contient l’histoire de la responsabilité et de l’entière chute du peuple, dans toutes les circonstances qu’il a traversées, soit en Égypte, soit dans le désert, soit en Canaan. Cette énumération aurait été en désaccord avec le but de notre livre.

Enfin nos v. 35 et 36, correspondant aux deux derniers versets du Ps. 106 (v. 47, 48) regardent en avant vers l’accomplissement définitif de toutes les bénédictions énumérées dans notre chapitre et qui ne seront pleinement réalisées que par la délivrance d’Israël d’entre les nations, temps futur où retentira cette louange: Béni soit l’Éternel, le Dieu d’Israël, de l’éternité jusqu’en éternité!» Le peuple de David se joint par anticipation à cette louange. «Et tout le peuple dit: Amen! et loua l’Éternel» (v. 36).

Après ce Cantique nous trouvons aux v. 37 à 43 l’ordre provisoire du Culte avant l’établissement définitif de l’arche dans le temple de Salomon. Désormais l’arche de l’alliance était placée en Sion, et c’est, comme nous l’avons vu, le point capital du premier livre des Chroniques, en rapport avec la royauté. L’arche était placée «sous des tapis», dans une tente dressée pour elle par David. Le tabernacle du désert, avec l’autel d’airain et les autres ustensiles du sanctuaire, était à Gabaon. C’était là qu’on offrait l’holocauste du matin et du soir. David établit ici le personnel qui devait remplir ces deux offices: à Gabaon, l’offrande des sacrifices; à Jérusalem, la louange en présence de l’arche. C’est là aussi que devait retentir ce chant, dont la durée est celle de l’Éternel lui-même: «Célébrez l’Éternel, parce que sa bonté demeure à toujours» (v. 41). Parmi ceux qui font le service devant l’arche, Obed-Édom occupe le premier rang, au milieu de tant de lévites, choisis par David. Il est le témoin et l’objet des bénédictions que l’arche apportait avec elle, le témoin spécial des conseils de la grâce.

Tout ce passage qui a trait au service de l’arche est omis dans le second livre de Samuel.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Chronicles 16". "Commentaire biblique intermédiaire". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cbi/1-chronicles-16.html.
 
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