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Bible Commentaries
Osée 1

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versets 1-11

Chapitre 1er

Premi�re partie: Chapitres 1 � 3 � �tat moral d�Isra�l et conseils de Dieu � son �gard.

Chapitre 1er � Dieu rejette Isra�l et re�oit les nations.

(v. 1.) � �La parole de l��ternel qui vint � Os�e, fils de Be�ri, aux jours d�Ozias, de Jotham, d�Achaz et d��z�chias, rois de Juda, et aux jours de J�roboam, fils de Joas, roi d�Isra�l�.

D�s le premier verset nous nous heurtons � une difficult�. Comment se fait-il qu�Os�e, proph�te d��phra�m, au lieu d��num�rer la s�rie des rois d�Isra�l sous lesquels il a proph�tis�, ne mentionne que J�roboam, le premier de ces rois, passe sous silence ses six successeurs et marque la dur�e de sa proph�tie par les rois de Juda? � cette �nigme l�histoire des rois d�Isra�l fournit une solution, confirm�e par le contenu de notre premier chapitre.

J�hu, ex�cuteur des jugements de Dieu contre les dix tribus, avait extermin� Joram, roi d�Isra�l, et les 70 fils de l�impie Achab, mais, plein d�un z�le charnel, il avait outrepass� les ordres de Dieu en exer�ant la vengeance sur Achazia, roi de Juda, et ses quarante-deux fr�res. L��ternel reconnut l�ob�issance de J�hu, dans la mesure o� elle s��tait exerc�e � son service, et lui dit: �Parce que tu as bien ex�cut� ce qui �tait droit � mes yeux, et que tu as fait � la maison d�Achab selon tout ce qui �tait dans mon c�ur, tes fils, jusqu�� la quatri�me g�n�ration, seront assis sur le tr�ne d�Isra�l� (2 Rois 10:30; 15:12). Ce fut, en effet, ce qui arriva. Sur les instances de Joakhaz, son p�re, premi�re g�n�ration de J�hu, Joas, la seconde g�n�ration, avait �t� suscit� comme �Sauveur � Isra�l� (2 Rois 13:5). J�roboam II, troisi�me g�n�ration, tout mauvais roi qu�il f�t, avait �t� �galement honor� du titre de Sauveur du peuple (2 Rois 14:27). D�s lors cependant, Isra�l �tait jug�, mais il manquait encore la quatri�me g�n�ration de J�hu pour accomplir la promesse, faite � ce dernier par l��ternel. � la mort de J�roboam, les dix tribus travers�rent une p�riode d�interr�gne dont la proph�tie d�Os�e porte les traces. Mais ce que l��ternel avait promis devait n�cessairement avoir lieu. Au bout de onze ans d�interr�gne, Zacharie, quatri�me descendant de J�hu, s�assit sur le tr�ne d�Isra�l, mais ne r�gna que six mois et mourut de mort violente (2 Rois 15:8-12). Ainsi s�accomplissait � la fois la parole de l��ternel � J�hu et le jugement d�finitif sur les dix tribus. D�j�, du temps de J�roboam II, ce jugement �tait consomm� dans les d�crets de Dieu. Les cinq souverains qui se succ�d�rent sur le tr�ne depuis Zacharie jusqu�� la transportation des dix tribus ne comptent pas pour le proph�te, malgr� le long r�gne de deux d�entre eux.

Os�e proph�tise sur Isra�l, alors que d�j� le sort du peuple est invariablement fix� par l��ternel. Celui-ci tient sa promesse � J�hu, mais juge d�finitivement la maison d�Isra�l, � commencer par J�hu (1:4). Pour un temps Juda, sous quelques rois fid�les, �marche encore avec son Dieu et les vrais saints�, quoique, de fait, la ruine des deux tribus soit d�j� compl�te (12:1). Aussi, comme nous le verrons, chaque fois que Juda est mentionn�, c�est pour montrer que, si son jugement est retard�, il n�est pas �loign� et atteindra s�rement la maison de David.

Voil� donc ce qui nous semble expliquer pourquoi Os�e, proph�te d��phra�m, nous est pr�sent� comme pr�disant sous le r�gne des rois de Juda, et passe sous silence tous les rois d�Isra�l, sauf J�roboam. Ce dernier �tait encore un �Sauveur�. Apr�s lui, tout n�est plus que d�sordre, meurtres et anarchie.

(v. 2-5.) � En un temps o� la parole de Dieu n�a plus de puissance sur le c�ur du peuple, pour le convaincre et le ramener, l��ternel l�accompagne de signes visibles, symboliques, propres � atteindre la conscience et au sens desquels personne ne peut se soustraire. �L��ternel dit � Os�e: Va, prends-toi une femme prostitu�e et des enfants de prostitution; car le pays s�est enti�rement prostitu� en abandonnant l��ternel�. Il faut que le proph�te de l��ternel, l�homme qui repr�sente Dieu lui-m�me devant le peuple, contracte une alliance d�shonorante. Isra�l ne comprendra-t-il pas que la prostitution est sa condition actuelle? Il avait abandonn� l��ternel, trahi ses engagements avec son mari; et cependant les relations d�une alliance l�gitime subsistaient encore. Y avait-il rien de plus honteux pour le proph�te? Mais combien plus pour l��ternel lui-m�me! En outre, non seulement le proph�te (ou Dieu) �tait d�shonor�, mais les enfants issus de cette union ne pouvaient s�appeler que des enfants de prostitution. Jamais la souillure ne peut �tre am�lior�e, m�me alli�e avec la puret� la plus parfaite. Si la saintet� du proph�te, sous la conduite de l��Esprit de Dieu, n�en �tait nullement alt�r�e, l�impuret� de son �pouse �tait d�cupl�e par le fait qu�elle n�avait eu aucun �gard � cette saintet�; mais il �tait d�sormais impossible que Dieu n�en pr�t pas connaissance, si, le fait une fois constat�, Il ne voulait pas renier Sa saintet�. Le jugement devenait donc une n�cessit�, � moins que Dieu n�abandonn�t son caract�re.

Cette v�rit� est de tous les temps. Apr�s Isra�l, l��glise, en tant qu��pouse responsable de Christ, a suivi le m�me chemin, s�est prostitu�e, et tombera sous le m�me jugement, bien plus terrible toutefois que celui d�Isra�l, puisqu�il sera proportionn� aux gr�ces qu�elle a re�ues. Isra�l a manqu� sous la loi; l��glise responsable a manqu� sous la gr�ce. Mais Isra�l, apr�s sa d�fection sous l��conomie de la loi, retrouvera, sous la nouvelle alliance, la gr�ce qu�il n�avait jamais connue; l��glise ne la retrouvera pas, car, apr�s la gr�ce, manifestation supr�me du caract�re de Dieu, il ne lui reste plus de ressource, ni d�autre issue, que le jugement. L��glise est en voie de devenir �la grande prostitu�e�, la m�re de toutes les abominations de la terre qui aura pour fin cette sentence: �Elle est tomb�e, elle est tomb�e, Babylone la grande!� (Apoc. 17:1, 5; 18:2.)

Os�e prend donc pour femme Gomer, dont la conduite est l�image de celle du peuple. Elle est fille de Dibla�m, qui signifie �double embrassement�. Ce nom semble �tre une allusion. D�s son origine, Isra�l avait �t� soumis � deux influences contraires, celle de la chair et celle de la saintet� de Dieu. Un m�lange � une chose ni tout � fait bonne, ni tout � fait mauvaise � pouvait-il en �tre le r�sultat? Impossible! �La corruption n�h�rite pas de l�incorruptibilit�.

Le premier fils de Gomer est Jizre�l. �Appelle�, dit l��ternel, �son nom Jizre�l, car encore un peu de temps et je visiterai le sang de Jizre�l sur la maison de J�hu, et je ferai cesser le royaume de la maison d�Isra�l; et il arrivera, en ce jour-l�, que je briserai l�arc d�Isra�l dans la vall�e de Jizre�l� (v. 4). Ce nom rappelle le meurtre, commis par J�hu, sur Achazia, roi de Juda et ses quarante-deux fr�res (2 Rois 9-10). Dieu avait approuv� J�hu en ce qu�il avait fait � la maison d�Achab et lui en avait m�me accord� la r�compense. Ce n�est qu�environ quatre-vingts ans apr�s que nous apprenons ce que Dieu pensait du meurtre des fils de Juda.

Ce principe est tr�s instructif quant aux voies de Dieu. En tant qu�il sert � l�accomplissement des conseils de Dieu, l�homme peut �tre approuv� de Lui, quels que soient les motifs secrets de son c�ur, si toutefois il ne s�oppose pas � cet accomplissement. Mais les motifs secrets qui l�ont fait agir, quand il semblait ne travailler que pour Dieu, seront un jour mis en lumi�re et la violence ou l�hypocrisie se cachant sous le manteau de l�ob�issance n��chapperont pas plus dans le jour du jugement qu�ils n��chappent aujourd�hui � Son regard. Il arrive un temps o� la patience de Dieu prend fin. Les motifs du c�ur de J�hu, qu�il savait si bien cacher aux yeux du fid�le Jonadab, en les parant du nom de �z�le pour l��ternel� (2 Rois 10:15, 16), sont maintenant mis � d�couvert. Les meilleurs pouvaient s�y tromper, mais on ne trompe pas Dieu. Des ann�es s��coulent, le jour et l�heure de la r�tribution arrivent, lentement peut-�tre, mais d�un pas certain et in�vitable. N�en avait-il pas �t� de m�me dans l�affaire de Sa�l et des Gabaonites; il semblait, apr�s tant d�ann�es, que Dieu e�t oubli� ce qu�il n�avait pas m�me enregistr�. La famine de trois ans vint d�tromper Isra�l (2 Sam. 21).

Le nom de Jizre�l est synonyme ici de brisement: l�arc d�Isra�l (sa puissance) sera bris� dans la vall�e de Jizre�l. Avec la maison de J�hu le royaume des dix tribus a cess� virtuellement et Dieu ne tient plus compte de ce qui reste.

Mais la royaut� n��tait pas seule en question. Dans quel �tat se trouvait la nation elle-m�me sous les successeurs de J�hu? Gomer enfante une fille et Dieu dit: �Appelle son nom Lo-Rukhama (elle n�a pas obtenu mis�ricorde), car je ne ferai plus mis�ricorde � la maison d�Isra�l pour leur pardonner encore� (v. 6). La coupe �tait comble; � l��gard d�Isra�l, il n�y avait plus lieu � repentance de la part de l��ternel; cependant il voulait encore �faire mis�ricorde � la maison de Juda et les sauver� � ce qu�il avait fait en vain par deux fois, comme nous l�avons vu, � l��gard de la maison d�Isra�l � car la sentence d�finitive n��tait pas encore prononc�e sur la race de David.

Gomer a un second fils. Dieu dit: �Appelle son nom Lo-Ammi (pas mon peuple), car vous n��tes pas mon peuple et je ne serai pas � vous� (v. 9). Ainsi tout lien avec Dieu est rompu. Isra�l est rejet� et remarquons que Dieu ne fait plus une exception en faveur de Juda, comme il l�a faite pour Lo-Rukhama. La sentence s��tend ici au del� d��phra�m. Dans le moment m�me o� elle est prononc�e, les relations vitales de tout le peuple sont d�j� rompues. Elles feront bient�t place aux simples voies de la Providence de Dieu, comme nous les voyons au livre d�Esther, jusqu�au jour du r�tablissement d�Isra�l.

Avec cette sentence: �Vous n��tes pas mon peuple�, il semble que tout soit d�finitivement termin�. Sans doute, si Dieu n��tait pas Dieu, et si sa gloire voulait �tre fond�e sur ses jugements au lieu d��tre �tablie sur sa gr�ce. Dieu est un juge et les p�cheurs sont affreusement coupables de n�en pas tenir compte, mais Il est aussi le Dieu des promesses et ces promesses sont sans repentance. On le voit bien ici, au v. 10, � l��gard d�Isra�l: �Cependant le nombre des fils d�Isra�l sera comme le sable de la mer, qui ne se peut mesurer ni nombrer�. Le proph�te, chose remarquable, ne remonte pas aux promesses faites � Jacob (Isra�l) � B�thel: �Ta semence sera comme la poussi�re de la terre� (Gen. 28:14) � mais � celles qu�il fit � Abraham � la suite du sacrifice d�Isaac: �Je multiplierai abondamment ta semence... comme le sable qui est sur le bord de la mer� (Gen. 22:17), promesse que Jacob lui-m�me rappelle � l��ternel avant de passer le gu� de Jabbok: �Tu as dit: Certes, je te ferai du bien et je ferai devenir ta semence comme le sable de la mer, qui ne se peut nombrer � cause de son abondance� (Gen. 32:12). C�est en vertu du sacrifice de Christ que la gr�ce de Dieu triomphera � la fin, et sur ce sacrifice que l��ternel �tablit ses promesses immuables. La loi, venue si longtemps apr�s, ne peut les annuler. Le Dieu des promesses ne peut mentir, ni d�savouer Christ, l�Isaac ressuscit�, en qui elles sont toutes �Oui et Amen�.

Mais le proph�te mentionne encore une promesse bien plus merveilleuse que celle du �sable de la mer�: �Et il arrivera que, dans le lieu o� il leur a �t� dit: Vous n��tes pas mon peuple, il leur sera dit: �Fils du Dieu vivant�. Ce passage a trait aux nations et non pas � Isra�l, comme l�Esprit de Dieu nous l�enseigne en Rom. 9. N�est-il pas remarquable que, sans cet enseignement, nous n�aurions jamais d�couvert, dans ce verset, la pens�e de Dieu au sujet des gentils? En Rom. 9:24-26, l�ap�tre cite deux passages d�Os�e pour montrer que Dieu a appel� �des vaisseaux de mis�ricorde... savoir nous, non seulement d�entre les Juifs, mais aussi d�entre les nations�. Le premier de ces passages est pris en Os�e 2:23: �J�appellerai mon peuple, celui qui n��tait pas mon peuple et bien-aim�e celle qui n��tait point bien-aim�e�. Ces paroles se rapportent exclusivement � Isra�l; l�ap�tre Pierre, s�adressant � des Juifs convertis, les emploie � leur sujet: �Vous qui autrefois n��tiez pas un peuple, mais qui maintenant �tes le peuple de Dieu; vous qui n�aviez pas obtenu mis�ricorde, mais qui maintenant avez obtenu mis�ricorde� (l Pierre 2:10). Pierre montre � ces chr�tiens sortis du juda�sme que ce qui �tait promis pour l�avenir � leur nation, eux le poss�daient maintenant; qu�ils avaient le droit de s�appeler le peuple de Dieu, et avaient des relations avec Dieu fond�es sur sa gr�ce gratuite.

Le second passage de Rom. 9 est tir� d� Os�e 1:10. C�est celui qui nous occupe: �Il arrivera�, dit l�ap�tre, �qu�au lieu o� il leur a �t� dit: Vous n��tes point mon peuple, l� ils seront appel�s fils du Dieu vivant�. Dans l�avenir, les fils d�Isra�l apprendront que Dieu s�est suscit� � leur place un peuple nouveau, ayant un titre nouveau: �Fils du Dieu vivant�. Ce nom me semble avoir une port�e toute sp�ciale. Dans l�Ancien Testament le nom du Dieu vivant, du Dieu d�Isra�l poss�dant la vie en lui-m�me, semble �tre en contraste avec les dieux sans vie, idoles des nations. Dans le Nouveau Testament, Christ est le Fils du Dieu vivant (Matt. 16:16; Rom. 1:4), d�clar� tel par la r�surrection d�entre les morts. En vertu de cette r�surrection et par la descente du Saint Esprit, le chr�tien poss�de la m�me relation avec Dieu que son Seigneur et Sauveur. Il est fils de Dieu, du Dieu vivant. Telle me semble �tre la port�e de ce passage. Il s�adresse aux nations dont nous faisons partie, et proclame la nouvelle relation dans laquelle elles entreront avec Dieu par un Christ ressuscit�. Sans doute le proph�te ne va pas jusqu�au myst�re de l��glise, inconnu de l�Ancien Testament, mais nous pouvons dire que ce myst�re est cach� ici dans ces mots: �le Dieu vivant�, titre connu de tous les proph�tes, mais r�v�l� ici pour le temps futur o�, sur lui, le Seigneur b�tira son Assembl�e.

�Et les fils de Juda et les fils d�Isra�l se rassembleront, et s��tabliront un chef, et monteront du pays; car la journ�e de Jizre�l est grande� (v. 11). De la b�n�diction des nations, le proph�te passe au rassemblement futur de tout Isra�l. Juda, avec lequel Dieu patientait encore, devait �tre dispers� apr�s les dix tribus, mais il n�en sera pas toujours ainsi. Si le but de la croix, de rassembler en un les enfants de Dieu dispers�s, a �chou� quant � Isra�l, le temps viendra o� ce dessein s�accomplira. Juda et Isra�l (ou les dix tribus) s��tabliront un seul chef; ils reconna�tront ensemble la seigneurie du Christ que Juda avait rejet�. Alors ces fr�res ennemis vivront unis avec leur Chef, souverain sacrificateur et Roi sur son tr�ne, devenu d�sormais leur Conducteur. Ils �monteront du pays�. Le sens de cette parole me para�t �tre qu�ils monteront de la terre de Canaan comme une moisson abondante, car, ajoute imm�diatement le proph�te, �la journ�e de Jizre�l est grande�. Alors Jizre�l, lieu du massacre et de la r�tribution (v. 5), recevra sa vraie signification: �Dieu s�me� (cf. 2:23). Il s�me et la moisson l�vera, mais seulement apr�s que le jugement du peuple aura �t� consomm�. D�s que la journ�e de Jizre�l est introduite par Dieu lui-m�me, elle ne peut �tre qu�en b�n�diction; o� Lui a sem�, la moisson ne peut �tre qu�infiniment grande. Autrefois, sous J�hu, l�homme avait sem�, et r�colt� la temp�te; mais quand Dieu s�mera il r�coltera un peuple bien uni, le fruit m�r de son �uvre, rassembl� sous un Chef divin. Alors on pourra dire, en effet: La journ�e de Jizre�l est grande!1

1 C�est du moins l�explication que je propose de ce passage qui a re�u plusieurs interpr�tations. Voir pour la m�me signification du mot monter: chap. 10:8. S��tablir un chef et monter ne se lient point, selon moi, dans ce passage.

Nous avons donc trouv� dans ce chapitre un r�sum� important du pass� et de l�avenir d�Isra�l et de Juda. Toute la proph�tie de l�Ancien Testament y est condens�e en quelques mots. Les promesses de Dieu; le peuple sous la loi abandonnant l��ternel; le jugement qui en est la cons�quence; la rupture de toute relation entre Dieu et le peuple; la cessation de ses voies de mis�ricorde envers lui; l�alliance l�gale ayant �t� rompue par Isra�l; � l�entr�e des nations dans les b�n�dictions de la nouvelle alliance, comme fruit de la r�surrection du Christ qu�Isra�l avait rejet�, � mais ensuite la reprise des relations de Dieu avec Isra�l, lorsque le Christ ressuscit� devient Chef de son peuple, le r�unit en un apr�s sa dispersion, et fait lever une moisson abondante sur la terre renouvel�e.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Hosea 1". "Commentaire biblique intermédiaire". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cbi/hosea-1.html.
 
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