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Bible Commentaries
Romains 9

Nouveau Testament Populaire 1891NT Populaire 1891

versets 1-33

Romains 9:1

SOMMAIRE DE ROMAINS 9

Le rejet des Juifs

  • La profonde compassion de Paul pour sa nation.
  • La promesse de Dieu à la race Juive n’est pas vaine.
  • L’argumentation sur cela.
  • La promesse n’est pas à considérer selon la chair, mais d’une façon spirituelle.
  • Dieu a le droit de choisir le peuple qu’il veut.
  • Comme le potier a le droit de choisir la forme qu’il veut.
  • De la même manière, Dieu peut exalter ou rejeter une race.
  • L’acceptation des païens et le rejet des Juifs étaient prédits.
  • Un reste d’Israël sera sauvé.

Je dis la vérité en Christ

Cette affirmation est faite d’une manière solennelle car les Juifs avaient accusé Paul d’avoir abandonné sa race. Il parle comme étant en la présence de Christ, avec une conscience éclairée par le Saint-Esprit. Pour comprendre le raisonnement de ce chapitre, le lecteur doit garder à l’esprit le but de l’apôtre. Il a montré, au début de cette épître, que l’Évangile était une puissance de Dieu pour le salut, « du Juif premièrement, puis du Grec,  » Romains 1:16, 17. Mais la nation Juive a rejeté Dieu, et Dieu l’a rejetée. Ce peuple allait bientôt être détruit, expatrié, mais les Juifs comptaient sur les promesses faites à Abraham. Dieu avait-il renié ses promesses ? Pour les Juifs, si Christ était le vrai Messie, et que la nation Juive était rejetée, c’est que la promesse était devenue vaine.

Pour répondre à leur objection, Paul montre :

  1. que la promesse n’était pour toute la postérité charnelle d’Abraham, mais pour sa postérité selon la promesse ; et
  2. que Dieu, dans sa souveraineté, a le droit de choisir une race ou de l’ignorer, selon sa volonté.

Le sujet de l’élection individuelle et personnelle n’est pas ce qui est à l’esprit de l’apôtre, mais il parle de l’élection des Juifs pour être le peuple choisi, puis ensuite de leur rejet, et donc le choix des païens. Isaac, Ésaü et Jacob sont les représentants de leur race.

Romains 9:2

J’éprouve une grande tristesse, etc

Non pas tellement que ses concitoyens en aient fait un étranger, mais parce qu’ils n’étaient pas sous la bénédiction de Christ.

Romains 9:3

Car je voudrais moi-même être séparé de Christ

Il pourrait souhaiter être anathème, si cela pouvait contribuer ses frères Juifs.

Anathème

Être maudit, rejeté de Christ, et perdu.

Mes frères

Ses frères Juifs, ceux qui sont de la même race que lui, qui partagent les mêmes valeurs.

Romains 9:4

Qui sont Israélites

Il énumère maintenant quelques-unes des gloires de la race Juive. Jacob, leur ancêtre, qui a été appelé Israël par l’ange, Genèse 32:28. Ce nom veut dire « Dieu prévaut,  » ou « lutteur avec Dieu,  » et ce titre était porté par ses descendants.

À qui appartiennent l’adoption

Six hauts privilèges du peuple choisi sont nommés en Romains 9:4, 5. Et ils ont effectivement été adoptés comme le peuple choisi, Deutéronome 7:6.

La gloire

La présence de l’arche de Dieu et la gloire de la Présence Divine, 1 Samuel 4.21.

Les alliances

Ce sont celles faites avec Abraham, ainsi qu’au Sinaï.

La loi

Celle de Moïse donnée aux enfants d’Israël.

Le culte

Le service de Dieu, l’adoration du tabernacle et le temple.

Les promesses

En particulier la promesse bénie de Christ.

Romains 9:5

Les patriarches

Les pères et les prophètes.

De qui est issu... le Christ

Le plus grand de tous, Christ, était de leur race dans sa nature charnelle, de la tribu de Juda, de la postérité de David.

Qui est au-dessus de toutes choses

Voir Matthieu 28:18. Il est notre roi et notre juge.

Dieu béni éternellement

Plus qu’un homme : divin.

Romains 9:6

Ce n’est point à dire que la parole de Dieu soit restée sans effet

Les Juifs auraient pu répliquer : « pourquoi, alors, si Israël a reçu de tels privilèges, des alliances, des promesses, cette nation est-elle rejetée ? Pourquoi Dieu, si Jésus est réellement le Christ, a-t-il rendu sa parole sans effet ? » L’apôtre répond à cette objection dans le reste du chapitre. Le premier point est qu’il y a un Israël plus grand que celui de la chair. Ceux qui

ne sont pas Israël

montrent qu’il y a un Israël selon la promesse, mais qu’il y en a un selon la chair.

Romains 9:7

Pour être la postérité d’Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants

Abraham a eu d’autres enfants qu’Isaac, et en particulier Ismaël, et aucun de ceux-là n’appartenait au peuple choisi, puisqu’il est dit :

En Isaac sera nommée pour toi une postérité

Voir Genèse 21:12.

Romains 9:8

C’est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair, etc

Puisque Ismaël, né selon les lois naturelles, n’était pas de la race choisie, mais qu’Isaac en était, lui l’enfant de la promesse, né selon le contraire d’une loi naturelle, il s’ensuit que les enfants de Dieu ne sont pas les enfants de la chair, les descendants charnels d’Abraham, mais les enfants de la promesse. Ce sont ceux qui sont de la postérité qui répondent aux conditions de la promesse. Cet argument est une réplique à ceux qui fondaient tout sur leur appartenance charnelle à Abraham : « nous avons Abraham pour père,  » Matthieu 3:9. Et, dans le but de démontrer ceci plus complètement, Paul rappelle les incidents cités dans Genèse 18:10-14.

Romains 9:9

Voici la parole de la promesse

Cette promesse fut faite lorsque Sara avait largement dépassé l’âge d’enfanter, et quand Abraham était déjà un vieil homme. L’enfant qui est né est l’enfant de la promesse.

Romains 9:10

Et de plus

Le premier argument est que la vraie postérité sont les enfants de la promesse, une postérité spirituelle plutôt que de la chair. Le second argument, maintenant exposé, est que Dieu a le droit de rejeter une nation s’il le désire, même les Juifs, et il peut choisir d’autres races, selon Sa volonté. Ceci a été démontré par des faits de l’histoire. Il a exercé ce droit de choix lorsqu’Il a choisi Jacob, et non Ésaü. Les faits sont exposés pour rappeler cela.

Romains 9:11

Quoique les enfants

Les enfants, bien que pas encore nés, étaient de la postérité d’Isaac selon la chair, et donc de la postérité promise, et ils n’avaient fait aucune œuvre, « n’ayant fait ni bien ni mal. »

Afin que le dessein d’élection de Dieu subsistât

Cela démontre qu’Il a fait le choix de Sa propre volonté, librement. Il a choisi Jacob qui n’était pas encore né, pour le mettre à la tête du peuple. Comme Moïse, Samuel, et Jean-Baptiste furent amenés à une grande œuvre pour Dieu, il en fut ainsi de Jacob.

Romains 9:12

Il fut dit à Rébecca : l’aîné sera assujetti au plus jeune

Ce que l’Éternel a dit a Rébecca, c’est bien : « deux nations sont dans ton ventre... un de ces peuples sera plus fort que l’autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit,  » voir Genèse 25:23. Ésaü n’a jamais servi Jacob, mais les Édomites, descendants de Jacob, ont servi les Israélites. Ici, l’élection est celle d’une race.

Romains 9:13

Selon qu’il est écrit

Dans Malachie 1:2, 3. Le langage de Malachie montre qu’il est parlé de deux races. « Et J’ai eu de la haine pour Ésaü, J’ai fait de ses montagnes une solitude, J’ai livré son héritage aux chacals du désert. » Il ne s’agissait pas d’Ésaü en tant que personne, mais était vrai pour ses descendants. Une race était aimée, l’autre haïe. Dieu a alors affirmé son droit à librement choisir ou rejeter des races. Il n’y a pas la moindre allusion à l’élection de personnes au salut éternel, et d’autres à la damnation.

Romains 9:14

Y a-t-il en Dieu de l’injustice ?

Cette liberté de Dieu dans son élection de races, est-elle en opposition à sa justice ? n’est-il pas injuste que Dieu puisse choisir une nation et en rejeter une autre ? La réponse à cette question nous est maintenant donnée. Paul montre que les Écritures reconnaissent cette liberté, et ces Écritures, données en référence par l’objecteur Juif à qui s’adresse cet écrit, n’indiquent pas d’injustice en Dieu. L’argument est entièrement scripturaire.

Romains 9:15

Je ferai miséricorde à qui Je fais miséricorde

Ceci était une réponse à une requête de Moïse pour un haut privilège, Exode 33:19. Le Seigneur accorde cela, non à cause de mérites, mais par grâce, parce qu’il a compassion pour qui il veut. Le passage, donné en application par Paul, affirme que Dieu favorise les nations selon Son plaisir. Il exerce le libre choix.

Romains 9:16

Cela ne dépend ni de celui qui veut

Quand Dieu offre sa grâce, ce n’est pas à cause d’une volonté humaine (celui qui veut), ou pour une œuvre humaine (celui qui court) qui l’auraient mis dans cette obligation et l’auraient forcé à donner, mais le don est libre, et il est un effet de Sa miséricorde, qu’Il a le droit d’accorder comme Il le veut. Isaac voulait accorder la bénédiction à Ésaü, et ce dernier a couru chasser pour son père, mais Jacob a été choisi pour devenir le fondateur du peuple choisi, et pour recevoir la bénédiction, dont la promesse était qu’il allait devenir le père d’une grande nation.

Romains 9:17

Car l’écriture dit à Pharaon

Voir Exode 9:16. Il n’est pas dit que Pharaon était prédestiné par naissance à un haut dessein, mais il fut élevé au trône dans un but particulier. Ce but étant de

montrer en toi ma puissance

Ici l’élection n’est pas celle d’une destruction individuelle, mais celle d’un homme qui devient roi pour un dessein particulier. La destruction est venue sur lui parce que, dans sa position, il a résisté à Dieu.

Romains 9:18

Ainsi il fait miséricorde

Cette miséricorde, Il l’exerce selon Son propre sens du droit, et non selon un quelconque code humain, Romains 9:15. Le cas de Pharaon montre, en plus,

qu’il endurcit qui il veut

Ce qui ne doit pas être oublié, et qui apparaît distinctement dans tout le récit de l’Exode est que le durcissement de Pharaon venait d’abord de son propre fait. Cinq fois il est dit qu’il s’est endurci, ou avait endurci son cœur, Exode 7:13 ; 7.22 ; 8.15 ; 8.28 ; 9.7. Ceci avant qu’il ne soit dit que Dieu l’a endurci, Exode 9:12. Et même après cela il est encore dit qu’il s’est endurci lui-même, Exode 9:34. Il a donc d’abord fermé son cœur aux appels de Dieu, il a opposé de la résistance aux jugements de Dieu, jusqu’à ce que, pour finir, Dieu le rejette pour son obstination à ne pas reconnaître le droit. Au début, Pharaon a endurci son cœur, puis les jugements de Dieu l’ont rendu encore plus dur. La folie lui a été donnée, ce qui se devine dans le récit. Même les magiciens ont dit : « c’est le doigt de Dieu ! » Exode 8:19. Il a d’ailleurs dit lui-même : « cette fois, j’ai péché ; c’est l’Éternel qui est le juste, et moi et mon peuple nous sommes les coupables,  » Exode 9:27. S’il ne s’était pas endurci lui-même de nouveau, le résultat aurait été différent. Les Juifs étaient d’accord sur le cas de Pharaon, mais soutenaient que Dieu ne pouvait jamais les abandonner, malgré leur attitude de pécheurs. L’argument de Paul est que si le peuple favorisé faisait comme Pharaon, il subirait la destinée de Pharaon. Dieu endurcit ceux qui s’endurcissent eux-mêmes. Dans ce passage, Paul ne fait pas un exposé de théologie, mais il répond à des prétentions arrogantes du pharisianisme Juif, et il démontre la liberté divine. S’il avait répondu à des gens qui auraient voulu exagérer cette liberté en la transformant en pur arbitraire et en volonté tyrannique, il aurait au contraire montré l’autre facette : la vérité et la confiance.

Romains 9:19

Qui est-ce qui résiste à sa volonté ?

Paul rencontre maintenant une autre objection de l’adversaire Juif : si la volonté de Dieu est souveraine, pourquoi trouve-t-Il des fautes, puisque nulle nation ne peut résister à Sa volonté ? Si Dieu endurcit, la nation qui est endurcie ne l’est que parce qu’elle lui est soumise. Paul ne s’arrête pas à montrer que cette objection est illogique, mais il déclare : « c’est ainsi. De quel droit la nation Juive peut-elle émettre une objection ? Elle n’est rien de plus qu’un peu d’argile dans les mains d’un potier. »

Romains 9:20

Qui es-tu pour contester avec Dieu ?

Des hommes pourraient-ils accuser Dieu d’injustice ? Nous n’avons pas le droit de lutter contre notre Créateur. Il a le droit de déclarer ses propres conditions à celui pour qui Il a miséricorde.

Romains 9:21

Le potier n’est-il pas maître de l’argile ?

Ainsi Dieu, qui a tous les droits, peut faire ce qu’Il veut de ses créatures. Il n’est pas dit que nous sommes pour Dieu comme de l’argile dans les mains d’un potier, mais qu’il a les mêmes droits sur nous qu’un potier sur son argile. Un morceau d’argile peut être utilisé pour un vase splendide, un autre pour faire de la vaisselle d’usage ordinaire.

Romains 9:22

Que dire, si Dieu

Peut-être que Dieu, dans l’exercice de Son droit incontesté, a pu faire quelque chose de similaire dans Ses actions avec les Juifs et les païens.

Voulant montrer sa colère

Sa colère ayant été provoquée par la nation Juive ayant rejeté Christ, il a voulu faire une démonstration de Sa puissance, bien qu’il ait

supporté avec une grande patience des vases de colère

L’incrédule nation Juive, si pécheresse devant Dieu, et pourtant si longtemps supportée. Dieu, dans l’exercice de son pouvoir souverain, n’a pas voulu montrer immédiatement sa colère. Le verset commence par une question, qui veut dire : « et si Dieu montrait sa colère, à qui la faute ? »

Romains 9:23

Et s’il a voulu faire connaître

« Les vases de miséricorde » sont à la fois les païens, et les Juifs qui ont cru. Et que dire si Dieu a conservé des vases destinés à la destruction ? Est-ce une faute ? Romains 9:22. Et qu’il ait fait connaître la richesse de Sa gloire sur des vases de miséricorde, est-ce une faute ?

Qu’il a d’avance préparés pour la gloire

La préparation citée n’est pas celle des individus à la vie éternelle, mais celle qui était faite pour sauver les païens aussi bien que les Juifs. Le verset suivant en explique le sens.

Romains 9:24

Ainsi nous a-t-il appelés

Il « a supporté les vases de colère,  » pour pouvoir faire connaître Sa miséricorde en appelant à la fois les Juifs et les païens. La destruction de la nation Juive, prédite par le Sauveur dans Matthieu 24, fut retardée par miséricorde, jusqu’à ce que des dizaines de milliers de Juifs et de païens aient accepté Christ. Tout le passage montre que Dieu a supporté les péchés de la nation Juive, sans la détruire, parce que son existence était capitale dans Ses plans de salut du monde. C’est de cette nation que Christ est venu, que les apôtres ont été choisis, et c’est dans cette nation que l’église a été formée, avant d’envoyer ses prédicateurs de l’Évangile.

Romains 9:25

Selon qu’il le dit dans Osée

Voir Osée 2:25. Paul montre par cette prophétie que Dieu avait prévu d’appeler les païens au salut.

Romains 9:26

fils du Dieu vivant

C’est une prophétie du même auteur que cite Paul, dans Osée 2:1. Ces deux passages montrent que l’Évangile prêché aux païens est en harmonie avec les desseins annoncés depuis longtemps par Dieu.

Romains 9:27

Ésaïe, de son côté

Voir Ésaïe 10:22. Le prophète montre non seulement que les païens seront appelés, mais qu’une grande partie d’Israël chutera vis-à-vis de Dieu. Le passage indique que bien que le peuple d’Israël devienne aussi nombreux que les grains de sable de la mer, « un reste seulement sera sauvé. » Cette prophétie s’est d’abord appliquée au retour des Juifs de la captivité, mais, comme beaucoup de prophéties, elle a un double sens.

Romains 9:28

Car le Seigneur exécutera pleinement

Ce verset, cité de Ésaïe 10:23, montre que seulement une partie sera sauvée. Le jugement juste de Dieu séparera le reste de Sa faveur.

Romains 9:29

Et comme Ésaïe l’avait dit auparavant

Ésaïe a parlé de ce qui est écrit dans les versets Romains 9:27, 28. Et cela se trouve dans Ésaïe 1:9. Ce passage, comme l’autre, montre que seulement « un reste d’Israël sera sauvé. »

Nous serions devenus comme Sodome

Sodome et Gomorrhe ont péri à cause de leurs péchés. Elles n’ont pas reçu miséricorde, et il n’y a pas de raison qu’Israël n’ait pas subi le même sort, ayant commis les mêmes péchés.

Romains 9:30

Que dirons-nous donc ?

Quelle conclusion en tirer ? Il vient d’être démontré que la parole de Dieu n’est pas sans effet, et que tout ce qui a été prédit s’est réalisé, Romains 9:6 ; la conclusion est que :

Les païens qui ne cherchaient pas la justice

n’en avaient pas connaissance, mais se sont assurés cette justice en acceptant Christ, par la foi en lui,

tandis qu’Israël, qui cherchait une loi de justice, avait failli

à la justice devant Dieu, par son incrédulité.

Romains 9:32

Pourquoi ?

Pourquoi cette faille de la part d’Israël ? Ce n’est pas parce que Dieu voulait qu’Israël soit rejeté, ni par prédestination, mais à cause de leur incrédulité en Christ.

L’a cherchée non par la foi

Ils n’ont pas cherché la justice qui vient de la foi en Christ, mais ils ont cherché la justice des œuvres, en observant la loi de Moïse.

Ils se sont heurtés contre la pierre d’achoppement

Ils n’ont pas eu la foi en Christ crucifié. Ceci est une des causes de la chute d’Israël. Ils ont chuté par incrédulité.

Romains 9:33

Selon qu’il est écrit

Que Christ serait une pierre d’achoppement pour Israël a été prédit en Ésaïe 8:14. Quand Jésus est venu, comme le plus humble, et qu’Il fut crucifié, les Juifs qui espéraient un Christ, un Messie puissant, roi sur la terre, ont trébuché, et sont tombés.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Romans 9". "Nouveau Testament Populaire 1891". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ntp/romans-9.html.
 
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